PARIS (Reuters) - Le gouvernement et l’autorité de régulation des télécoms (Arcep) ont fixé lundi la feuille de route de la 5G visant notamment un déploiement commercial dans au moins une grande ville dès 2020 et la couverture des principaux axes de transport d’ici 2025.
Parmi les chantiers prioritaires, figurent l'attribution des fréquences radioélectriques, le développement de nouveaux usages ou l'accompagnement du déploiement des infrastructures.
Les fréquences constituent le coeur du réacteur pour les opérateurs télécoms Orange, SFR Group, Bouygues Telecom et Iliad qui dépensent à intervalles réguliers des sommes élevées pour obtenir l'autorisation de les utiliser.
La nouvelle technologie de la 5G, dont les standards font toujours l'objet de discussions au niveau mondial, pourrait à l'horizon 2025 délivrer des vitesses de pointe plus de 30 fois plus élevées que celles enregistrées en 2015, selon un rapport de la Commission européenne datant de 2016.
Elle pourrait accélérer les transferts de données de façon inédite et démultiplier les usages de ces bandes de fréquence.
Des premières expérimentations sont déjà en cours ou prévues à Belfort, Bordeaux, Douai, Grenoble, Lannion, Lille, Lyon, Marseille, Nantes, Toulouse, Sophia-Antipolis.
D'autres auront lieu en Ile-de-France, incluant notamment trois cas d’usages dans le véhicule connecté.
Cette feuille de route intervient après la signature, en janvier, d'un accord entre le gouvernement, l'Arcep et les opérateurs mobiles sur une intensification du déploiement de la 4G devant permettre, à court terme, de généraliser une couverture de qualité sur l'ensemble du territoire français.
Parmi les chantiers prioritaires, figurent l'attribution des fréquences radioélectriques, le développement de nouveaux usages ou l'accompagnement du déploiement des infrastructures.
Les fréquences constituent le coeur du réacteur pour les opérateurs télécoms Orange, SFR Group, Bouygues Telecom et Iliad qui dépensent à intervalles réguliers des sommes élevées pour obtenir l'autorisation de les utiliser.
La nouvelle technologie de la 5G, dont les standards font toujours l'objet de discussions au niveau mondial, pourrait à l'horizon 2025 délivrer des vitesses de pointe plus de 30 fois plus élevées que celles enregistrées en 2015, selon un rapport de la Commission européenne datant de 2016.
Elle pourrait accélérer les transferts de données de façon inédite et démultiplier les usages de ces bandes de fréquence.
Des premières expérimentations sont déjà en cours ou prévues à Belfort, Bordeaux, Douai, Grenoble, Lannion, Lille, Lyon, Marseille, Nantes, Toulouse, Sophia-Antipolis.
D'autres auront lieu en Ile-de-France, incluant notamment trois cas d’usages dans le véhicule connecté.
Cette feuille de route intervient après la signature, en janvier, d'un accord entre le gouvernement, l'Arcep et les opérateurs mobiles sur une intensification du déploiement de la 4G devant permettre, à court terme, de généraliser une couverture de qualité sur l'ensemble du territoire français.