New York (awp/afp) - L'euro montait légèrement face au dollar mercredi après un retour au calme relatif sur le front des tensions commerciales, alors que la livre retombait, de nouveau pénalisée par les négociations délicates sur le Brexit.
Vers 19H00 GMT (21H00 à Paris), l'euro valait 1,1676 dollar contre 1,1667 dollar la veille à 21H00 GMT.
L'euro se stabilisait face à la devise japonaise, à 131,07 yens contre 131,08 yens mardi soir.
Face au yen, le dollar, lui, reculait légèrement à 112,26 yens contre 112,36 yens mardi soir.
La livre britannique baissait face à l'euro et au dollar après avoir entamé la séance en hausse.
Alors que la devise avait profité plus tôt dans la journée du fait que les négociations sur le Brexit semblaient en bonne voie, "un article selon lequel Theresa May aurait rejeté une proposition améliorée de l'UE quant à la frontière irlandaise" a inversé la tendance, a expliqué Craig Erlam, analyste pour Oanda.
Le président du Conseil européen Donald Tusk a salué mercredi une "évolution positive" du Royaume-Uni dans les négociations, mais il a demandé à Londres des propositions "retravaillées" sur la frontière irlandaise et la future relation avec l'UE.
Ce à quoi la Première ministre, en déplacement européen à Salzbourg en Autriche, a répliqué en affirmant que c'était au tour des Européens de faire "évoluer leur position" pour débloquer les négociations.
Le dollar était de son côté un peu affaibli par "l'appétit des investisseurs pour le risque car ils sentent que la guerre commerciale entre les Etats-Unis et Chine ne va pas porter gravement atteinte à la croissance mondiale", a affirmé Joe Manimbo de Western Union.
Les deux puissances se sont infligé entre lundi et mardi une nouvelle salve de taxes douanières, qui a toutefois rassuré les marchés par son degré moins sévère que redouté.
Le dollar, considéré comme une valeur refuge, monte souvent lors des pics de tensions internationales, et baisse lorsque ces tensions s'apaisent.
"Nous nous sommes habitués à la rhétorique concernant le commerce et sommes peut-être devenus blasés à propos des dommages économiques que cela causera", a souligné de son côté Kit Juckes, analyste de la Société Générale.
Par ailleurs, l'affirmation mercredi par le Premier ministre chinois Li Keqiang que Pékin ne dévaluerait "jamais" sa monnaie pour stimuler ses exportations "a dynamisé de nombreuses devises en Asie, mais également en Europe de l'Est et en Amérique latine", ont observé les analystes de Wells Fargo.
Résultat, l'indice MSCI Emerging Market Currencies, regroupant une vingtaine de devises émergentes, progressait de 0,3%.
Vers 19H00 GMT, l'once d'or valait 1.203,97 dollars, contre 1.198,38 dollars mardi à 21H00 GMT.
Le yuan chinois a terminé en hausse face au dollar à 6,8483 yuans pour un dollar contre 6,8615 mardi.
Le bitcoin s'échangeait pour 6.228,55 dollars, contre 6.317,70 dollars mardi soir, selon des chiffres compilés par Bloomberg.
Vers 19H00 GMT (21H00 à Paris), l'euro valait 1,1676 dollar contre 1,1667 dollar la veille à 21H00 GMT.
L'euro se stabilisait face à la devise japonaise, à 131,07 yens contre 131,08 yens mardi soir.
Face au yen, le dollar, lui, reculait légèrement à 112,26 yens contre 112,36 yens mardi soir.
La livre britannique baissait face à l'euro et au dollar après avoir entamé la séance en hausse.
Alors que la devise avait profité plus tôt dans la journée du fait que les négociations sur le Brexit semblaient en bonne voie, "un article selon lequel Theresa May aurait rejeté une proposition améliorée de l'UE quant à la frontière irlandaise" a inversé la tendance, a expliqué Craig Erlam, analyste pour Oanda.
Le président du Conseil européen Donald Tusk a salué mercredi une "évolution positive" du Royaume-Uni dans les négociations, mais il a demandé à Londres des propositions "retravaillées" sur la frontière irlandaise et la future relation avec l'UE.
Ce à quoi la Première ministre, en déplacement européen à Salzbourg en Autriche, a répliqué en affirmant que c'était au tour des Européens de faire "évoluer leur position" pour débloquer les négociations.
Le dollar était de son côté un peu affaibli par "l'appétit des investisseurs pour le risque car ils sentent que la guerre commerciale entre les Etats-Unis et Chine ne va pas porter gravement atteinte à la croissance mondiale", a affirmé Joe Manimbo de Western Union.
Les deux puissances se sont infligé entre lundi et mardi une nouvelle salve de taxes douanières, qui a toutefois rassuré les marchés par son degré moins sévère que redouté.
Le dollar, considéré comme une valeur refuge, monte souvent lors des pics de tensions internationales, et baisse lorsque ces tensions s'apaisent.
"Nous nous sommes habitués à la rhétorique concernant le commerce et sommes peut-être devenus blasés à propos des dommages économiques que cela causera", a souligné de son côté Kit Juckes, analyste de la Société Générale.
Par ailleurs, l'affirmation mercredi par le Premier ministre chinois Li Keqiang que Pékin ne dévaluerait "jamais" sa monnaie pour stimuler ses exportations "a dynamisé de nombreuses devises en Asie, mais également en Europe de l'Est et en Amérique latine", ont observé les analystes de Wells Fargo.
Résultat, l'indice MSCI Emerging Market Currencies, regroupant une vingtaine de devises émergentes, progressait de 0,3%.
Vers 19H00 GMT, l'once d'or valait 1.203,97 dollars, contre 1.198,38 dollars mardi à 21H00 GMT.
Le yuan chinois a terminé en hausse face au dollar à 6,8483 yuans pour un dollar contre 6,8615 mardi.
Le bitcoin s'échangeait pour 6.228,55 dollars, contre 6.317,70 dollars mardi soir, selon des chiffres compilés par Bloomberg.