New York (awp/afp) - L'euro se stabilisait face au dollar mardi après avoir été pénalisé plus tôt en séance par les craintes autour du budget italien, au moment où le FMI a abaissé ses prévisions de croissance pour l'économie mondiale.
Vers 19H30 GMT (21H30 HEC), la monnaie unique européenne valait 1,1494 dollar, contre 1,1492 dollar lundi vers 21H00 GMT. Vers 12H30 GMT, elle était tombée à 1,1432 dollar, un plus bas depuis la mi-août. La monnaie unique "a été ébranlée par une nouvelle nette baisse des obligations italiennes", ont commenté les analystes du courtier Sucden.
Mardi, le rendement des obligations à dix ans a poursuivi sa hausse, atteignant son plus haut niveau depuis début 2014, du fait des inquiétudes autour du budget italien, qui prévoit un déficit public à 2,4% du PIB pour 2019.
Cette forte hausse des taux d'emprunt "ne reflète pas les données fondamentales du pays", a assuré mardi le ministre italien de l'Économie, Giovanni Tria, en se disant confiant dans l'évolution de l'économie de la péninsule.
La monnaie européenne s'est ressaisie en cours de séance "au moment où de nombreuses options (sur des produits financiers) ont expiré", a affirmé Kathy Lien, de BK Asset Management.
"Cela a coïncidé avec la démission surprise de l'ambassadrice américaine à l'ONU, Nikki Haley", a-t-elle ajouté.
"Il n'est pas évident de savoir si les investisseurs ont réagi à cette démission en l'interprétant comme un manque de confiance envers l'administration Trump ou s'il s'agit d'une question technique liée aux options", a-t-elle remarqué.
Les investisseurs restaient également préoccupés par la guerre commerciale que se livrent les Etats-Unis et la Chine, qui assombrit les perspectives de l'économie mondiale, selon le Fonds monétaire international.
"La politique commerciale reflète le contexte politique et le contexte politique est incertain dans plusieurs pays, ce qui représente des risques supplémentaires", a averti mardi le chef économiste du FMI, Maurice Obstfeld, au cours d'une conférence de presse à Bali, en Indonésie, où s'ouvraient les réunions annuelles du FMI et de la Banque mondiale.
L'institution a décidé d'abaisser les perspectives économiques pour 2018 et 2019, tablant désormais sur une croissance du produit intérieur brut mondial (PIB) de 3,7% pour chacune de ces deux années (-0,2 point), une hausse similaire à celle de 2017.
Vers 19H30 GMT mardi, la devise européenne baissait face au yen, à 129,93 yens contre 130,12 yens lundi à 21H00 GMT.
Le dollar reculait de son côté face à la devise nippone, à 113,04 yens contre 113,23 yens, lundi soir.
Le franc suisse se stabilisait face à l'euro, à 1,1404 franc suisse pour un euro contre 1,1405 lundi. Face au dollar, il montait, s'échangeant à 0,9921 franc suisse pour un dollar contre 0,9926 lundi soir.
L'once d'or valait 1.189,83 dollars, contre 1.188,16 dollars lundi à 21H00 GMT.
Après une nette baisse face au dollar lundi, le yuan a terminé à 6,9228 yuans pour un dollar, contre 6,9308 yuans lundi.
Le bitcoin s'échangeait pour 6.589,00 dollars, contre 6.623,01 dollars lundi soir, selon des chiffres compilés par Bloomberg.
Vers 19H30 GMT (21H30 HEC), la monnaie unique européenne valait 1,1494 dollar, contre 1,1492 dollar lundi vers 21H00 GMT. Vers 12H30 GMT, elle était tombée à 1,1432 dollar, un plus bas depuis la mi-août.
Mardi, le rendement des obligations à dix ans a poursuivi sa hausse, atteignant son plus haut niveau depuis début 2014, du fait des inquiétudes autour du budget italien, qui prévoit un déficit public à 2,4% du PIB pour 2019.
Cette forte hausse des taux d'emprunt "ne reflète pas les données fondamentales du pays", a assuré mardi le ministre italien de l'Économie, Giovanni Tria, en se disant confiant dans l'évolution de l'économie de la péninsule.
La monnaie européenne s'est ressaisie en cours de séance "au moment où de nombreuses options (sur des produits financiers) ont expiré", a affirmé Kathy Lien, de BK Asset Management.
"Cela a coïncidé avec la démission surprise de l'ambassadrice américaine à l'ONU, Nikki Haley", a-t-elle ajouté.
"Il n'est pas évident de savoir si les investisseurs ont réagi à cette démission en l'interprétant comme un manque de confiance envers l'administration Trump ou s'il s'agit d'une question technique liée aux options", a-t-elle remarqué.
Les investisseurs restaient également préoccupés par la guerre commerciale que se livrent les Etats-Unis et la Chine, qui assombrit les perspectives de l'économie mondiale, selon le Fonds monétaire international.
"La politique commerciale reflète le contexte politique et le contexte politique est incertain dans plusieurs pays, ce qui représente des risques supplémentaires", a averti mardi le chef économiste du FMI, Maurice Obstfeld, au cours d'une conférence de presse à Bali, en Indonésie, où s'ouvraient les réunions annuelles du FMI et de la Banque mondiale.
L'institution a décidé d'abaisser les perspectives économiques pour 2018 et 2019, tablant désormais sur une croissance du produit intérieur brut mondial (PIB) de 3,7% pour chacune de ces deux années (-0,2 point), une hausse similaire à celle de 2017.
Vers 19H30 GMT mardi, la devise européenne baissait face au yen, à 129,93 yens contre 130,12 yens lundi à 21H00 GMT.
Le dollar reculait de son côté face à la devise nippone, à 113,04 yens contre 113,23 yens, lundi soir.
Le franc suisse se stabilisait face à l'euro, à 1,1404 franc suisse pour un euro contre 1,1405 lundi. Face au dollar, il montait, s'échangeant à 0,9921 franc suisse pour un dollar contre 0,9926 lundi soir.
L'once d'or valait 1.189,83 dollars, contre 1.188,16 dollars lundi à 21H00 GMT.
Après une nette baisse face au dollar lundi, le yuan a terminé à 6,9228 yuans pour un dollar, contre 6,9308 yuans lundi.
Le bitcoin s'échangeait pour 6.589,00 dollars, contre 6.623,01 dollars lundi soir, selon des chiffres compilés par Bloomberg.