New York - La Banque mondiale va devenir la première grande institution internationale à utiliser la technologie de la blockchain pour emprunter de l'argent sur les marchés financiers, selon un communiqué vendredi.
La blockchain, ou chaîne de blocs, est surtout connue pour être la technologie sur laquelle repose le bitcoin et les autres crypto-monnaies; elle permet de faciliter et de garder trace de toute transaction, financière ou autre, via un procédé de cryptage perfectionné théoriquement impossible à falsifier.
L'institution internationale a demandé à la banque Commonwealth Bank of Australia d'utiliser cette technologie pour concevoir et organiser de bout en bout un emprunt via l'émission d'obligations.
Et les investisseurs ont selon la Banque mondiale déjà montré un intérêt "solide" pour ce produit qu'elle a baptisée bond-i, l'acronyme en anglais de "blockchain operated new debt instrument" (nouvel instrument de dette géré par la blockchain) mais aussi le nom d'une plage célèbre près de Sidney.
Selon un représentant de l'institution contacté par l'AFP, la Banque mondiale espère lever 50 millions de dollars australiens (environ 36 millions de dollars), mais n'exclut pas de pouvoir emprunter deux fois plus.
"La blockchain peut théoriquement faciliter toutes les procédures entre les nombreux intermédiaires et agents sur le marché de la dette", remarque l'institution.
"Elle peut aider à simplifier la façon dont on lève de l'argent ou dont on investit en Bourse, améliorer l'efficacité opérationnelle et augmenter la supervision des régulateurs", ajoute la Banque mondiale qui émet chaque année entre 50 et 60 milliards de dollars d'obligations destinées à financer des opérations de développement durables.
"Aider les pays à faire la transition vers un développement guidé par la technologie est un élément clé dans nos objectifs de réduction de la pauvreté et de promotion du développement durable", a commenté Denis Robitaille, responsable des systèmes d'information à la Banque mondiale, cité dans le communiqué.
"Cette émission pionnière est une étape importante dans le travail que nous menons pour mieux conseiller les pays sur les opportunités et les risques que les nouvelles technologiques présentent", a-t-il ajouté.
La technologie de la blockchain a déjà été utilisée dans des projets pilotes, notamment par le constructeur automobile allemand Daimler en 2017, mais selon la Banque mondiale, jamais sur la totalité de l'opération.
La blockchain, ou chaîne de blocs, est surtout connue pour être la technologie sur laquelle repose le bitcoin et les autres crypto-monnaies; elle permet de faciliter et de garder trace de toute transaction, financière ou autre, via un procédé de cryptage perfectionné théoriquement impossible à falsifier.
L'institution internationale a demandé à la banque Commonwealth Bank of Australia d'utiliser cette technologie pour concevoir et organiser de bout en bout un emprunt via l'émission d'obligations.
Et les investisseurs ont selon la Banque mondiale déjà montré un intérêt "solide" pour ce produit qu'elle a baptisée bond-i, l'acronyme en anglais de "blockchain operated new debt instrument" (nouvel instrument de dette géré par la blockchain) mais aussi le nom d'une plage célèbre près de Sidney.
Selon un représentant de l'institution contacté par l'AFP, la Banque mondiale espère lever 50 millions de dollars australiens (environ 36 millions de dollars), mais n'exclut pas de pouvoir emprunter deux fois plus.
"La blockchain peut théoriquement faciliter toutes les procédures entre les nombreux intermédiaires et agents sur le marché de la dette", remarque l'institution.
"Elle peut aider à simplifier la façon dont on lève de l'argent ou dont on investit en Bourse, améliorer l'efficacité opérationnelle et augmenter la supervision des régulateurs", ajoute la Banque mondiale qui émet chaque année entre 50 et 60 milliards de dollars d'obligations destinées à financer des opérations de développement durables.
"Aider les pays à faire la transition vers un développement guidé par la technologie est un élément clé dans nos objectifs de réduction de la pauvreté et de promotion du développement durable", a commenté Denis Robitaille, responsable des systèmes d'information à la Banque mondiale, cité dans le communiqué.
"Cette émission pionnière est une étape importante dans le travail que nous menons pour mieux conseiller les pays sur les opportunités et les risques que les nouvelles technologiques présentent", a-t-il ajouté.
La technologie de la blockchain a déjà été utilisée dans des projets pilotes, notamment par le constructeur automobile allemand Daimler en 2017, mais selon la Banque mondiale, jamais sur la totalité de l'opération.