La monarque, âgée de 94 ans, et son époux, 99 ans, « ont reçu aujourd’hui leur vaccin contre la COVID-19 », a déclaré un porte-parole. Le couple royal a ainsi rejoint les quelque 1,5 million de personnes ayant déjà reçu leur première injection au Royaume-Uni.
Une deuxième source a déclaré à l’agence de presse britannique PA que la reine et son mari avaient été vaccinés par le médecin de la famille royale au château de Windsor, où ils passent la période de confinement.
Habituellement assez discrète sur son état de santé, « la Reine a décidé de rendre publiques ces informations afin d’éviter des inexactitudes et d’éventuelles rumeurs », a ajouté PA.
Pays d’Europe le plus endeuillé par la pandémie avec désormais 80 868 morts (+1035 en 24 h), le Royaume-Uni fait actuellement face une flambée des contaminations par le coronavirus attribuée à un variant plus contagieux, portant samedi à plus de trois millions le nombre total de personnes testées positives depuis le début de la pandémie (+59 937 recensées samedi).
Mardi, le Bureau national des statistiques avait estimé qu’un habitant de l’Angleterre sur 50 était infecté par le virus la semaine dernière, et même un sur 30 à Londres.
Confiné pour la troisième fois, le pays s’est engagé dans une « course contre la montre », face à des hôpitaux au bord de la saturation, pour vacciner d’ici à mi-février les plus de 70 ans, les soignants et les personnes vulnérables, soit environ 15 millions de personnes appartenant à une catégorie de la population où interviennent 88 % des décès dus à la COVID-19.
La campagne de vaccination a été entamée début décembre à l’aide des vaccins actuellement mis à disposition, le BioNTech-Pfizer et celui conçu par AstraZeneca et l’université d’Oxford.
Le régulateur sanitaire britannique a donné son feu vert vendredi à un troisième vaccin, celui du laboratoire américain Moderna, mais celui-ci ne commencera à être utilisé qu’au printemps. (AFP)
Une deuxième source a déclaré à l’agence de presse britannique PA que la reine et son mari avaient été vaccinés par le médecin de la famille royale au château de Windsor, où ils passent la période de confinement.
Habituellement assez discrète sur son état de santé, « la Reine a décidé de rendre publiques ces informations afin d’éviter des inexactitudes et d’éventuelles rumeurs », a ajouté PA.
Pays d’Europe le plus endeuillé par la pandémie avec désormais 80 868 morts (+1035 en 24 h), le Royaume-Uni fait actuellement face une flambée des contaminations par le coronavirus attribuée à un variant plus contagieux, portant samedi à plus de trois millions le nombre total de personnes testées positives depuis le début de la pandémie (+59 937 recensées samedi).
Mardi, le Bureau national des statistiques avait estimé qu’un habitant de l’Angleterre sur 50 était infecté par le virus la semaine dernière, et même un sur 30 à Londres.
Confiné pour la troisième fois, le pays s’est engagé dans une « course contre la montre », face à des hôpitaux au bord de la saturation, pour vacciner d’ici à mi-février les plus de 70 ans, les soignants et les personnes vulnérables, soit environ 15 millions de personnes appartenant à une catégorie de la population où interviennent 88 % des décès dus à la COVID-19.
La campagne de vaccination a été entamée début décembre à l’aide des vaccins actuellement mis à disposition, le BioNTech-Pfizer et celui conçu par AstraZeneca et l’université d’Oxford.
Le régulateur sanitaire britannique a donné son feu vert vendredi à un troisième vaccin, celui du laboratoire américain Moderna, mais celui-ci ne commencera à être utilisé qu’au printemps. (AFP)