New York (awp/afp) - Les cours du pétrole ont avancé lundi, profitant d'un apaisement des tensions entre Pékin et Washington et d'une accalmie des inquiétudes sur les devises émergentes, des éléments favorables à la demande de brut.
Le baril de Brent de la mer du Nord pour livraison en octobre a terminé à 72,21 dollars sur l'Intercontinental Exchange (ICE) de Londres, en hausse de 38 cents par rapport à la clôture de vendredi.
Sur le New York Mercantile Exchange (Nymex), le baril de "light sweet crude" (WTI) pour le contrat de septembre a pris 52 cents à 66,43 dollars.
"On sent un apaisement au sein des marchés émergents ainsi que sur le front commercial" entre Pékin et Washington, a commenté Gene McGillian de Tradition Energy.
La perspective d'une reprise des discussions cette semaine entre les deux partenaires a apaisé les craintes d'un recul de la demande internationale de brut, tout comme le calme relatif observé sur la devise turque et sur les autres devises émergentes.
"Les pays émergents sont les principaux moteurs de la croissance de la demande" de brut, ont affirmé les analystes de Commerzbank.
Mais l'inquiétude demeurait après les fortes secousses monétaires ressenties dans certains de ces pays la semaine dernière.
"La faiblesse de leurs monnaies pourrait pénaliser leurs achats" puisqu'ils peuvent s'offrir moins de barils dont le prix est fixé en dollars, ont ajouté les analystes de Commerzbank.
Les cours du Brent et du WTI ont certes reculé de respectivement 8% et 12% depuis début juillet. Mais ils sont parvenus depuis à se stabiliser un peu alors que "les marchés s'attendent à une baisse de l'offre en Iran", a affirmé Dean Popplewell, analyste chez Oanda.
Les exportations de brut en provenance de l'Iran seront entravées à partir du 4 novembre par les sanctions de Washington contre Téhéran.
Pour l'instant, la Maison Blanche n'a accordé aucune exemption aux importateurs du troisième plus grand producteur de l'Opep (Organisation des pays exportateurs de pétrole).
Lundi, le ministre iranien du Pétrole, Bijan Namdar Zanghaneh a annoncé que le géant pétrolier français Total s'est officiellement désengagé de ses projets d'investissements de plusieurs milliards de dollars dans le pays.
Le baril de Brent de la mer du Nord pour livraison en octobre a terminé à 72,21 dollars sur l'Intercontinental Exchange (ICE) de Londres, en hausse de 38 cents par rapport à la clôture de vendredi.
Sur le New York Mercantile Exchange (Nymex), le baril de "light sweet crude" (WTI) pour le contrat de septembre a pris 52 cents à 66,43 dollars.
"On sent un apaisement au sein des marchés émergents ainsi que sur le front commercial" entre Pékin et Washington, a commenté Gene McGillian de Tradition Energy.
La perspective d'une reprise des discussions cette semaine entre les deux partenaires a apaisé les craintes d'un recul de la demande internationale de brut, tout comme le calme relatif observé sur la devise turque et sur les autres devises émergentes.
"Les pays émergents sont les principaux moteurs de la croissance de la demande" de brut, ont affirmé les analystes de Commerzbank.
Mais l'inquiétude demeurait après les fortes secousses monétaires ressenties dans certains de ces pays la semaine dernière.
"La faiblesse de leurs monnaies pourrait pénaliser leurs achats" puisqu'ils peuvent s'offrir moins de barils dont le prix est fixé en dollars, ont ajouté les analystes de Commerzbank.
Les cours du Brent et du WTI ont certes reculé de respectivement 8% et 12% depuis début juillet. Mais ils sont parvenus depuis à se stabiliser un peu alors que "les marchés s'attendent à une baisse de l'offre en Iran", a affirmé Dean Popplewell, analyste chez Oanda.
Les exportations de brut en provenance de l'Iran seront entravées à partir du 4 novembre par les sanctions de Washington contre Téhéran.
Pour l'instant, la Maison Blanche n'a accordé aucune exemption aux importateurs du troisième plus grand producteur de l'Opep (Organisation des pays exportateurs de pétrole).
Lundi, le ministre iranien du Pétrole, Bijan Namdar Zanghaneh a annoncé que le géant pétrolier français Total s'est officiellement désengagé de ses projets d'investissements de plusieurs milliards de dollars dans le pays.