New York (awp/afp) - Le cours du pétrole a reculé mardi après une série de hausses quasi-ininterrompue lors des huit précédentes séances et avant la publication d'un rapport hebdomadaire sur les stocks américain de brut.
Le baril de Brent de la mer du Nord pour livraison en octobre a fini à 75,95 dollars sur l'Intercontinental Exchange (ICE) de Londres, en baisse de 26 cents par rapport à la clôture de lundi.
Sur le New York Mercantile Exchange (Nymex), le baril de "light sweet crude" (WTI) pour la même échéance a cédé 34 cents à 68,53 dollars.
"Après avoir progressé en début de séance, les cours n'ont pas réussi à maintenir leurs gains surtout après la multitude de séances de hausses", a commenté Kyle Cooper de IAF Advisors.
Les cours du Brent et du WTI ont enregistré mardi leur deuxième repli seulement au cours des neuf dernières journées de cotation.
La baisse, annoncée vendredi, du nombre de puits en activité aux Etats-Unis et le recul, dévoilé mercredi dernier, des réserves américaines de brut ont contribué à doper les prix.
La perspective du retour des sanctions américaines visant les exportations iraniennes de pétrole au mois de novembre a également contribué à cette récente hausse des cours.
Ces données ont participé à l'élan haussier qui s'est poursuivi en début de séance mardi, ajoutées à "un dollar plus faible et des espoirs que les Etats-Unis et la Chine parviennent à résoudre bientôt leur conflit commercial", ont affirmé les analystes de Commerzbank.
L'or noir étant libellé en dollars, un affaiblissement de celui-ci rend le pétrole moins cher pour les acheteurs utilisant d'autres devises.
Mais les cours se sont repliés en cours de séance, alors que l'American petroleum institute (API) et surtout l'Agence américaine d'information sur l'Energie (EIA) doivent publier entre mardi et mercredi leurs données sur les stocks de brut et la production aux Etats-Unis.
Pour les stocks arrêtés au 24 août, les analystes tablent sur un recul d'environ 1,5 million de barils des stocks de brut, sur un maintien des stocks d'essence et sur une hausse de 1,5 million de barils des stocks d'autres produits distillés (fioul de chauffage et diesel), selon la médiane d'un consensus compilé par Bloomberg.
"Ces dernières semaines les stocks ont beaucoup surpris les investisseurs, notamment à la hausse. On sent que les courtiers retirent un peu d'argent de la table avant la publication des nouveaux chiffres cette semaine", a observé M. Cooper.
Le baril de Brent de la mer du Nord pour livraison en octobre a fini à 75,95 dollars sur l'Intercontinental Exchange (ICE) de Londres, en baisse de 26 cents par rapport à la clôture de lundi.
Sur le New York Mercantile Exchange (Nymex), le baril de "light sweet crude" (WTI) pour la même échéance a cédé 34 cents à 68,53 dollars.
"Après avoir progressé en début de séance, les cours n'ont pas réussi à maintenir leurs gains surtout après la multitude de séances de hausses", a commenté Kyle Cooper de IAF Advisors.
Les cours du Brent et du WTI ont enregistré mardi leur deuxième repli seulement au cours des neuf dernières journées de cotation.
La baisse, annoncée vendredi, du nombre de puits en activité aux Etats-Unis et le recul, dévoilé mercredi dernier, des réserves américaines de brut ont contribué à doper les prix.
La perspective du retour des sanctions américaines visant les exportations iraniennes de pétrole au mois de novembre a également contribué à cette récente hausse des cours.
Ces données ont participé à l'élan haussier qui s'est poursuivi en début de séance mardi, ajoutées à "un dollar plus faible et des espoirs que les Etats-Unis et la Chine parviennent à résoudre bientôt leur conflit commercial", ont affirmé les analystes de Commerzbank.
L'or noir étant libellé en dollars, un affaiblissement de celui-ci rend le pétrole moins cher pour les acheteurs utilisant d'autres devises.
Mais les cours se sont repliés en cours de séance, alors que l'American petroleum institute (API) et surtout l'Agence américaine d'information sur l'Energie (EIA) doivent publier entre mardi et mercredi leurs données sur les stocks de brut et la production aux Etats-Unis.
Pour les stocks arrêtés au 24 août, les analystes tablent sur un recul d'environ 1,5 million de barils des stocks de brut, sur un maintien des stocks d'essence et sur une hausse de 1,5 million de barils des stocks d'autres produits distillés (fioul de chauffage et diesel), selon la médiane d'un consensus compilé par Bloomberg.
"Ces dernières semaines les stocks ont beaucoup surpris les investisseurs, notamment à la hausse. On sent que les courtiers retirent un peu d'argent de la table avant la publication des nouveaux chiffres cette semaine", a observé M. Cooper.