En marge de la conférence mondiale sur le climat (COP29), qui s’est achevée le 24 novembre à Bakou (Azerbaïdjan), le gouvernement britannique a annoncé un financement de près de 12 millions de dollars en faveur de l’initiative pour le bassin du Congo. C’est un début...
En 2020, un article paru dans Science sous la direction de Wannes Hubau, chercheur au Musée royal de l’Afrique centrale de Bruxelles, annonçait que les forêts africaines ont désormais une capacité de séquestration plus importante que l’Amazonie, même si leur fonction de puits naturel s’affaiblit avec la déforestation...
Les scientifiques guettent ces points de bascule à partir desquels les écosystèmes forestiers, sous la pression conjuguée des activités humaines et de la transformation du climat, ne seraient plus en mesure de jouer le rôle de puits de carbone. Jusqu’à présent, les forêts africaines ont montré une capacité de résilience et de régénération plus importante. [Le Monde]