« Aujourd'hui, le Président Trump a signé un décret exécutif pour remédier à la détérioration de la situation sécuritaire au Mali. Le décret présidentiel gèlera les avoirs et suspendra les déplacements des personnes ou entités qui cherchent à compromettre la paix, la sécurité ou la stabilité du Mali. Les États-Unis continueront de travailler avec leurs partenaires et le Comité des sanctions de l'ONU contre le Mali pour identifier ceux qui cherchent à tirer parti de l'instabilité ou à maintenir le statu quo plutôt qu'à œuvrer pour la paix et à les soumettre au plein effet des sanctions.
Les groupes extrémistes exploitent les tensions ethniques et étendent leurs réseaux bien au-delà des frontières maliennes.
La Mission intégrée multidimensionnelle de stabilisation des Nations Unies au Mali (MINUSMA) a été confrontée à plus de violence et de danger que toute autre mission de maintien de la paix de l'histoire des Nations Unies. Nous saluons le travail difficile que ces soldats de la paix et leurs partenaires accomplissent dans la région.
Les parties signataires de l'accord de paix de 2015, tant le gouvernement que les groupes armés, ont malheureusement peu progressé dans la mise en œuvre des éléments clés de l'accord qui pourraient faire avancer le Mali vers une paix plus large et répondre à nombre des griefs qui poussent les citoyens maliens à la violence. »
(Source : Département d’Etat)
Les groupes extrémistes exploitent les tensions ethniques et étendent leurs réseaux bien au-delà des frontières maliennes.
La Mission intégrée multidimensionnelle de stabilisation des Nations Unies au Mali (MINUSMA) a été confrontée à plus de violence et de danger que toute autre mission de maintien de la paix de l'histoire des Nations Unies. Nous saluons le travail difficile que ces soldats de la paix et leurs partenaires accomplissent dans la région.
Les parties signataires de l'accord de paix de 2015, tant le gouvernement que les groupes armés, ont malheureusement peu progressé dans la mise en œuvre des éléments clés de l'accord qui pourraient faire avancer le Mali vers une paix plus large et répondre à nombre des griefs qui poussent les citoyens maliens à la violence. »
(Source : Département d’Etat)