Il y a eu au moins deux rapports indiquant que le gouvernement ou ses agents ont commis des meurtres arbitraires ou illégaux (au cours de l’année 2020).
Le 11 mars, les autorités ont inculpé trois policiers dans la mort d'un motocycliste à Fatick. L'homme aurait transporté des drogues illégales lorsqu'il a été arrêté par la police. Après son arrestation, les policiers auraient emmené l'homme sur la plage où ils l'auraient battu à mort.
Le 2 mai, un détenu de la prison de Diourbel a succombé à de graves blessures. Trois policiers et un agent de sécurité et de proximité du poste de police de Mbacké l'auraient battu. Les autorités ont inculpé les auteurs présumés de sa mort.
Disparitions
Il n'y a pas eu de rapports de disparitions par ou au nom des autorités gouvernementales.
Torture et autres peines ou traitements cruels, inhumains ou dégradants ou punition
La constitution et la loi interdisent de telles pratiques. Des organisations de défense des droits de l'homme ont relevé des exemples d'abus physiques commis par les autorités, notamment un usage excessif de la force ainsi que des traitements cruels et dégradants dans les prisons et les centres de détention. Elles ont notamment critiqué les méthodes de fouille à nu et d'interrogatoire.
La police aurait forcé les détenus à dormir sur des sols nus, les aurait éclairés à la lumière du jour, les aurait battus avec des matraques, et les aurait interrogés. Elle les battait avec des matraques et les gardait dans des cellules avec un accès minimal à l'air frais. Cependant, les enquêtes étaient souvent excessivement longues et débouchaient rarement sur des accusations ou des inculpations.
L'impunité pour de tels actes constitue un problème important. Les bureaux chargés d'enquêter sur les abus comprenaient le ministère de la Justice et l'Observatoire national des lieux de privation de liberté.
Le 24 mars (2020), lors de la première nuit d'un couvre-feu national lié au COVID-19, des vidéos ont montré des policiers frappant des personnes en fuite avec des matraques. Dans un communiqué, la police s'est excusée pour ses " interventions excessives " et a promis de punir les agents impliqués.
Le 11 mars, les autorités ont inculpé trois policiers dans la mort d'un motocycliste à Fatick. L'homme aurait transporté des drogues illégales lorsqu'il a été arrêté par la police. Après son arrestation, les policiers auraient emmené l'homme sur la plage où ils l'auraient battu à mort.
Le 2 mai, un détenu de la prison de Diourbel a succombé à de graves blessures. Trois policiers et un agent de sécurité et de proximité du poste de police de Mbacké l'auraient battu. Les autorités ont inculpé les auteurs présumés de sa mort.
Disparitions
Il n'y a pas eu de rapports de disparitions par ou au nom des autorités gouvernementales.
Torture et autres peines ou traitements cruels, inhumains ou dégradants ou punition
La constitution et la loi interdisent de telles pratiques. Des organisations de défense des droits de l'homme ont relevé des exemples d'abus physiques commis par les autorités, notamment un usage excessif de la force ainsi que des traitements cruels et dégradants dans les prisons et les centres de détention. Elles ont notamment critiqué les méthodes de fouille à nu et d'interrogatoire.
La police aurait forcé les détenus à dormir sur des sols nus, les aurait éclairés à la lumière du jour, les aurait battus avec des matraques, et les aurait interrogés. Elle les battait avec des matraques et les gardait dans des cellules avec un accès minimal à l'air frais. Cependant, les enquêtes étaient souvent excessivement longues et débouchaient rarement sur des accusations ou des inculpations.
L'impunité pour de tels actes constitue un problème important. Les bureaux chargés d'enquêter sur les abus comprenaient le ministère de la Justice et l'Observatoire national des lieux de privation de liberté.
Le 24 mars (2020), lors de la première nuit d'un couvre-feu national lié au COVID-19, des vidéos ont montré des policiers frappant des personnes en fuite avec des matraques. Dans un communiqué, la police s'est excusée pour ses " interventions excessives " et a promis de punir les agents impliqués.