PARIS (Reuters) - Nokia s’est voulu rassurant vendredi sur l’impact éventuel des irrégularités présumées découvertes au sein d’Alcatel-Lucent, après la chute de son titre en Bourse.
L’action Nokia a fini en recul de 5,14% à 5,236 euros, plus forte baisse de l’EuroStoxx 50, après avoir abandonné jusqu’à 8% en séance.
Les commentaires sur “d’éventuelles amendes découlant de transactions commerciales d’Alcatel-Lucent nuisent à l’action, le marché est vraiment sensible au sujet de Nokia ces jours-ci”, commente Kimmo Stenvall, analyste chez OP Markets.
L’équipementier finlandais indique dans son rapport annuel, publié jeudi soir, avoir enquêté sur des transactions réalisées par l’ancien groupe français, qu’il a acquis en 2016, concernant d’éventuels problèmes de conformité. Il a signalé ces problèmes aux autorités américaines.
Vendredi, Nokia a dit ne pas penser que ces problèmes puissent avoir un impact significatif sur le groupe.
“Nous jugeons hautement probable que les sanctions susceptibles d’être décidées soient restreintes et sans gravité”, écrit le groupe.
Nokia a expliqué que certaines pratiques liées à des sujets de conformité dans l’ex-entité Alcatel-Lucent l’avaient inquiété lors du processus d’intégration et qu’il en avait fait part à la Securities and Exchange Commission (SEC), l’autorité des marchés financiers américains.
“Pour s’assurer d’une entière conformité, nous examinons actuellement certaines transactions de l’ancienne entreprise Alcatel-Lucent et bien que cette enquête en soit à un stade relativement précoce, par prudence et dans un esprit de transparence, Nokia a contacté les autorités réglementaires compétentes concernant cet examen”, a déclaré à Reuters le groupe.
Le secteur des télécommunications a connu ces dernières années plusieurs opérations de consolidation relativement importantes.
Siemens a cédé en 2013 à Nokia sa part dans leur coentreprise Nokia Siemens Networks et Alcatel-Lucent est le fruit de la fusion en 2006 des groupes éponymes français et américain.
Les objectifs assignés à ces opérations se sont cependant avérés complexes à atteindre en raison de difficultés liées aux coûts de la recherche et développement (R&D), de luttes de pouvoir et d’intensification de la concurrence.
L’action Nokia a fini en recul de 5,14% à 5,236 euros, plus forte baisse de l’EuroStoxx 50, après avoir abandonné jusqu’à 8% en séance.
Les commentaires sur “d’éventuelles amendes découlant de transactions commerciales d’Alcatel-Lucent nuisent à l’action, le marché est vraiment sensible au sujet de Nokia ces jours-ci”, commente Kimmo Stenvall, analyste chez OP Markets.
L’équipementier finlandais indique dans son rapport annuel, publié jeudi soir, avoir enquêté sur des transactions réalisées par l’ancien groupe français, qu’il a acquis en 2016, concernant d’éventuels problèmes de conformité. Il a signalé ces problèmes aux autorités américaines.
Vendredi, Nokia a dit ne pas penser que ces problèmes puissent avoir un impact significatif sur le groupe.
“Nous jugeons hautement probable que les sanctions susceptibles d’être décidées soient restreintes et sans gravité”, écrit le groupe.
Nokia a expliqué que certaines pratiques liées à des sujets de conformité dans l’ex-entité Alcatel-Lucent l’avaient inquiété lors du processus d’intégration et qu’il en avait fait part à la Securities and Exchange Commission (SEC), l’autorité des marchés financiers américains.
“Pour s’assurer d’une entière conformité, nous examinons actuellement certaines transactions de l’ancienne entreprise Alcatel-Lucent et bien que cette enquête en soit à un stade relativement précoce, par prudence et dans un esprit de transparence, Nokia a contacté les autorités réglementaires compétentes concernant cet examen”, a déclaré à Reuters le groupe.
Le secteur des télécommunications a connu ces dernières années plusieurs opérations de consolidation relativement importantes.
Siemens a cédé en 2013 à Nokia sa part dans leur coentreprise Nokia Siemens Networks et Alcatel-Lucent est le fruit de la fusion en 2006 des groupes éponymes français et américain.
Les objectifs assignés à ces opérations se sont cependant avérés complexes à atteindre en raison de difficultés liées aux coûts de la recherche et développement (R&D), de luttes de pouvoir et d’intensification de la concurrence.