Moscou a annoncé vendredi 15 avril l’expulsion de 18 diplomates de la représentation de l’Union européenne en Russie, en représailles à une mesure similaire prise par Bruxelles à la suite de l’offensive du Kremlin en Ukraine.
En guise de représailles aux actions inamicales de l’Union européenne, 18 membres de la Représentation de l’UE en Russie sont déclarés persona non grata et doivent quitter le territoire russe au plus tôt, a indiqué le ministère russe des Affaires étrangères dans un communiqué.
Elle précise avoir convoqué dans la journée le chef de la mission de l’UE en Russie, Markus Ederer, pour dénoncer l’expulsion, début avril, de 19 membres de la représentation russe auprès de l’Union européenne.
L’UE juge l’expulsion « injustifiée »
Bruxelles a réagi, jugeant l’expulsion des 18 diplomates
Ces dernières semaines, de nombreux autres pays européens comme l’Allemagne, la France, l’Italie, l’Espagne, la Slovénie, l’Autriche, la Pologne, la Grèce ou la Croatie ont expulsé des dizaines de diplomates russes.
Dans certains cas, ces expulsions étaient officiellement censées répondre au déclenchement du conflit en Ukraine par les forces russes et aux exactions qui leur sont reprochées par les Occidentaux. Dans d’autres cas, elles ont été accompagnées d’accusations d’espionnage.
En guise de représailles aux actions inamicales de l’Union européenne, 18 membres de la Représentation de l’UE en Russie sont déclarés persona non grata et doivent quitter le territoire russe au plus tôt, a indiqué le ministère russe des Affaires étrangères dans un communiqué.
Elle précise avoir convoqué dans la journée le chef de la mission de l’UE en Russie, Markus Ederer, pour dénoncer l’expulsion, début avril, de 19 membres de la représentation russe auprès de l’Union européenne.
L’UE juge l’expulsion « injustifiée »
Bruxelles a réagi, jugeant l’expulsion des 18 diplomates
injustifiée.
Les diplomates en question exercent leurs fonctions dans le cadre et le total respect de la Convention de Vienne sur les relations diplomatiques, souligne le communiqué.
Ces dernières semaines, de nombreux autres pays européens comme l’Allemagne, la France, l’Italie, l’Espagne, la Slovénie, l’Autriche, la Pologne, la Grèce ou la Croatie ont expulsé des dizaines de diplomates russes.
Dans certains cas, ces expulsions étaient officiellement censées répondre au déclenchement du conflit en Ukraine par les forces russes et aux exactions qui leur sont reprochées par les Occidentaux. Dans d’autres cas, elles ont été accompagnées d’accusations d’espionnage.