En Somalie, ce pourrait être l'épilogue d'une crise politique qui a déstabilisé le pouvoir exécutif ces derniers mois : le président Mohamed Abdullahi Mohamed, dit Farmajo, et son Premier ministre Mohammed Hussein Roble sont parvenus à un accord pour résoudre leurs différends. Le compromis de ce jeudi devrait permettre au pays de mener sereinement à son terme une élection présidentielle cruciale pour l'avenir du pays.
Les deux hommes se sont vus dans la soirée, en tête-à-tête, au siège de la présidence somalienne à Mogadiscio, la Villa Somalia. Ils s'étaient déjà vus la veille, dans la soirée également, sans qu'aucun communiqué ne soit publié à l'issue de leur premier entretien depuis des semaines. Mais cette fois, leur réconciliation est officielle.
Dans une déclaration à la presse, un porte-parole de la présidence a détaillé l'accord passé entre les deux têtes de l'exécutif. Le ministre de la Sécurité intérieure Abdullahi Mohamed Nour, nommé par le Premier ministre, reste à son poste. De même que le directeur des services de renseignement Yassin Farah nommé, lui, par le président. Une situation temporaire jusqu'à la désignation d'un successeur. (RFI)
Les deux hommes se sont vus dans la soirée, en tête-à-tête, au siège de la présidence somalienne à Mogadiscio, la Villa Somalia. Ils s'étaient déjà vus la veille, dans la soirée également, sans qu'aucun communiqué ne soit publié à l'issue de leur premier entretien depuis des semaines. Mais cette fois, leur réconciliation est officielle.
Dans une déclaration à la presse, un porte-parole de la présidence a détaillé l'accord passé entre les deux têtes de l'exécutif. Le ministre de la Sécurité intérieure Abdullahi Mohamed Nour, nommé par le Premier ministre, reste à son poste. De même que le directeur des services de renseignement Yassin Farah nommé, lui, par le président. Une situation temporaire jusqu'à la désignation d'un successeur. (RFI)