La Bourse de New York a terminé nettement dans le vert jeudi, aiguillonnée par les bonnes performances des grands noms de la cote Cisco et surtout Walmart ainsi que par la reprise du dialogue entre Washington et Pékin.
Son indice vedette, le Dow Jones Industrial Average, a gagné 1,58% à 25.558,73 points, enregistrant ainsi sa meilleure séance en quatre mois.
Le Nasdaq, à forte coloration technologique, s'est apprécié de 0,42% à 7.806,52 points.
L'indice élargi S&P 500 a pris 0,79% à 2.840,69 points.
"Les résultats meilleurs que prévu de Cisco (+2,96%) et les prévisions époustouflantes du géant de la distribution Walmart (+9,33%) ont dopé la confiance des investisseurs à Wall Street après le bref pic de volatilité de la veille", a remarqué Ken Berman de Gorilla Trades.
Walmart vient notamment d'enregistrer la plus forte croissance trimestrielle de ses ventes aux Etats-Unis en plus de dix ans. Un signal positif pour le groupe qui investit massivement afin de contrer la concurrence croissante du commerce en ligne.
Les investisseurs ont aussi été rassérénés par l'annonce de la visite d'un émissaire chinois aux Etats-Unis d'ici la fin du mois, signe d'une reprise du dialogue entre Pékin et Washington.
"Les discussions étaient au point mort; le fait qu'elles se raniment éveille l'espoir d'un accord, quel qu'il soit, qui puisse atténuer la guerre commerciale" entre les deux puissances économiques, a souligné Peter Cardillo de Spartan Capital Securities.
Les grandes multinationales Boeing (+4,29%) et Caterpillar (3,21%), particulièrement vulnérables à toute tension entre les deux pays, en ont profité.
Les investisseurs sont par ailleurs restés attentifs à la situation en Turquie, où le puissant ministre des Finances Berat Albayrak a assuré que son pays "émergerait encore plus fort" de la crise de la livre.
La devise, qui a perdu environ 40% de sa valeur face au dollar depuis de la début de l'année, regagnait du terrain pour la troisième séance de suite jeudi.
Le secrétaire américain au Trésor Steven Mnuchin a averti jeudi que les Etats-Unis prendraient des sanctions supplémentaires contre la Turquie si le pasteur américain Andrew Brunson n'était pas libéré rapidement. Mais cette menace n'a pas ébranlé outre mesure les courtiers de Wall Street.
Le marché obligataire se stabilisait: le taux à dix ans sur la dette américaine évoluait vers 20H20 GMT à 2,866% contre 2,862% à la clôture mercredi, et celui à 30 ans s'établissait à 3,027% contre 3,032% la veille.
Son indice vedette, le Dow Jones Industrial Average, a gagné 1,58% à 25.558,73 points, enregistrant ainsi sa meilleure séance en quatre mois.
Le Nasdaq, à forte coloration technologique, s'est apprécié de 0,42% à 7.806,52 points.
L'indice élargi S&P 500 a pris 0,79% à 2.840,69 points.
"Les résultats meilleurs que prévu de Cisco (+2,96%) et les prévisions époustouflantes du géant de la distribution Walmart (+9,33%) ont dopé la confiance des investisseurs à Wall Street après le bref pic de volatilité de la veille", a remarqué Ken Berman de Gorilla Trades.
Walmart vient notamment d'enregistrer la plus forte croissance trimestrielle de ses ventes aux Etats-Unis en plus de dix ans. Un signal positif pour le groupe qui investit massivement afin de contrer la concurrence croissante du commerce en ligne.
Les investisseurs ont aussi été rassérénés par l'annonce de la visite d'un émissaire chinois aux Etats-Unis d'ici la fin du mois, signe d'une reprise du dialogue entre Pékin et Washington.
"Les discussions étaient au point mort; le fait qu'elles se raniment éveille l'espoir d'un accord, quel qu'il soit, qui puisse atténuer la guerre commerciale" entre les deux puissances économiques, a souligné Peter Cardillo de Spartan Capital Securities.
Les grandes multinationales Boeing (+4,29%) et Caterpillar (3,21%), particulièrement vulnérables à toute tension entre les deux pays, en ont profité.
Les investisseurs sont par ailleurs restés attentifs à la situation en Turquie, où le puissant ministre des Finances Berat Albayrak a assuré que son pays "émergerait encore plus fort" de la crise de la livre.
La devise, qui a perdu environ 40% de sa valeur face au dollar depuis de la début de l'année, regagnait du terrain pour la troisième séance de suite jeudi.
Le secrétaire américain au Trésor Steven Mnuchin a averti jeudi que les Etats-Unis prendraient des sanctions supplémentaires contre la Turquie si le pasteur américain Andrew Brunson n'était pas libéré rapidement. Mais cette menace n'a pas ébranlé outre mesure les courtiers de Wall Street.
Le marché obligataire se stabilisait: le taux à dix ans sur la dette américaine évoluait vers 20H20 GMT à 2,866% contre 2,862% à la clôture mercredi, et celui à 30 ans s'établissait à 3,027% contre 3,032% la veille.