Le parti au pouvoir l'a déclaré ennemi de l'État. La détermination du journaliste Hopewell Chin'ono, sorti vendredi de prison, reste entière: il va continuer son travail.
"Je ne vais pas arrêter de traquer la corruption" d'État, affirme le lanceur d'alerte de 49 ans, crâne rasé et barbichette, dans un entretien à l'AFP au lendemain de sa libération de la prison de haute sécurité de Chikurubi, dans la banlieue d'Harare, où il effectuait sa deuxième période de détention en moins de quatre mois.
Il est resté 17 jours dans la section D, réservée aux condamnés à perpétuité ou à mort, une situation dénoncée par son avocate à chaque audience avant sa libération sous caution. (AFP)
"Je ne vais pas arrêter de traquer la corruption" d'État, affirme le lanceur d'alerte de 49 ans, crâne rasé et barbichette, dans un entretien à l'AFP au lendemain de sa libération de la prison de haute sécurité de Chikurubi, dans la banlieue d'Harare, où il effectuait sa deuxième période de détention en moins de quatre mois.
Il est resté 17 jours dans la section D, réservée aux condamnés à perpétuité ou à mort, une situation dénoncée par son avocate à chaque audience avant sa libération sous caution. (AFP)