Des organisations des droits de l’homme et des partis d’opposition s’inquiètent de la vague d’arrestations en cours dans le pays. Elles sont consécutives aux manifestations meurtrières de la période préélectorale qui ont fait au moins 2 morts civils et des blessés côté forces de l’ordre et manifestants. Chaque jour, la presse, les réseaux sociaux, les organisations des droits de l’homme alertent sur des cas de personnes arrêtées.
L’Organisation pour la défense des droits de l’homme, les opposants de l’intérieur et surtout ceux en exil dénoncent « des arrestations massives arbitraires ». Les premiers déferrements ont commencé deux jours après les manifestations du 6 avril. Une vingtaine de personnes ont défilé devant le procureur spécial de la Criet. Aujourd'hui, il s’agirait d’une centaine de personnes, selon plusieurs sources.
Selon les dénonciateurs, parmi ces personnes se trouveraient des activistes, des femmes, des membres des forces de l’ordre et surtout les opposants Joël Aïvo, Alexandre Hountondji, Joseph Tamégnon, l’ancien ministre Ali Houdou arrêté dimanche à Parakou et le fils d’un opposant en exil de passage à Cotonou. (RFI)
L’Organisation pour la défense des droits de l’homme, les opposants de l’intérieur et surtout ceux en exil dénoncent « des arrestations massives arbitraires ». Les premiers déferrements ont commencé deux jours après les manifestations du 6 avril. Une vingtaine de personnes ont défilé devant le procureur spécial de la Criet. Aujourd'hui, il s’agirait d’une centaine de personnes, selon plusieurs sources.
Selon les dénonciateurs, parmi ces personnes se trouveraient des activistes, des femmes, des membres des forces de l’ordre et surtout les opposants Joël Aïvo, Alexandre Hountondji, Joseph Tamégnon, l’ancien ministre Ali Houdou arrêté dimanche à Parakou et le fils d’un opposant en exil de passage à Cotonou. (RFI)