A Londres des milliers de partisans du Brexit ont manifesté vendredi jusque tard dans la soirée pour réclamer une sortie immédiate de l'Union européenne.
Le Royaume-Uni n'a jamais autant été divisé alors que s'approche à grand pas la date butoir du 12 avril.
Partisans et opposants du Brexit multiplient les mobilisations alors que le parlement britannique a rejeté vendredi pour la 3ème fois l'accord de divorce négocié avec l'Union européenne.
Les Britanniques sont d'autant plus en colère et critiques à l'égard de leurs députés que la chambre des communes s'est montrée incapables d'adopter une position claire face au Brexit.
A tel point qu'aujourd'hui, l'hypothèse d'une sortie brutale de l'Union européenne semble de plus en plus inéluctable. Devant les parlementaires la Première ministre a souligné l'impasse dans laquelle se trouvait désormais le pays.
Theresa May : "Monsieur le Président, je crains que nous n'atteignions les limites de ce processus à la Chambre. Cette Assemblée a rejeté le no deal, elle a rejeté le non au Brexit . Mercredi, elle a rejeté toutes les variantes de l'accord sur la table. Et aujourd'hui, l'assemblée a rejeté l'approbation de l'accord de retrait et la poursuite d'un processus pour l'avenir".
Pour sortir de l'impasse, le chef de file des travaillistes ne cesse d'appeler Theresa May à la démission.
Jeremy Corbyn : "Il faut trouver une alternative. Et si la Première ministre ne peut l'accepter, elle doit partir, non pas à une date indéterminée dans l'avenir, mais maintenant, pour que nous puissions décider de l'avenir de ce pays via des élections générales."
Le prochain épisode du Brexit aura lieu ce lundi au parlement : les députés vont essayer une nouvelle fois de faire émerger une solution alternative.
Face à tant d'incertitude, les chefs d’États européens attendent un signal de Londres. Un sommet européen extraordinaires a été convoqué pour le 10 avril à Bruxelles. Deux jours avant l'entrée en vigueur du Brexit.
En cas de départ brutal les 27 rappellent qu'ils se sont préparés au pire pour limiter les dégâts collatéraux. (euronews avec Agences)
Le Royaume-Uni n'a jamais autant été divisé alors que s'approche à grand pas la date butoir du 12 avril.
Partisans et opposants du Brexit multiplient les mobilisations alors que le parlement britannique a rejeté vendredi pour la 3ème fois l'accord de divorce négocié avec l'Union européenne.
Les Britanniques sont d'autant plus en colère et critiques à l'égard de leurs députés que la chambre des communes s'est montrée incapables d'adopter une position claire face au Brexit.
A tel point qu'aujourd'hui, l'hypothèse d'une sortie brutale de l'Union européenne semble de plus en plus inéluctable. Devant les parlementaires la Première ministre a souligné l'impasse dans laquelle se trouvait désormais le pays.
Theresa May : "Monsieur le Président, je crains que nous n'atteignions les limites de ce processus à la Chambre. Cette Assemblée a rejeté le no deal, elle a rejeté le non au Brexit . Mercredi, elle a rejeté toutes les variantes de l'accord sur la table. Et aujourd'hui, l'assemblée a rejeté l'approbation de l'accord de retrait et la poursuite d'un processus pour l'avenir".
Pour sortir de l'impasse, le chef de file des travaillistes ne cesse d'appeler Theresa May à la démission.
Jeremy Corbyn : "Il faut trouver une alternative. Et si la Première ministre ne peut l'accepter, elle doit partir, non pas à une date indéterminée dans l'avenir, mais maintenant, pour que nous puissions décider de l'avenir de ce pays via des élections générales."
Le prochain épisode du Brexit aura lieu ce lundi au parlement : les députés vont essayer une nouvelle fois de faire émerger une solution alternative.
Face à tant d'incertitude, les chefs d’États européens attendent un signal de Londres. Un sommet européen extraordinaires a été convoqué pour le 10 avril à Bruxelles. Deux jours avant l'entrée en vigueur du Brexit.
En cas de départ brutal les 27 rappellent qu'ils se sont préparés au pire pour limiter les dégâts collatéraux. (euronews avec Agences)