Maxime Mokom
Maxime Mokom, suspecté de crimes de guerre et de crimes contre l'humanité qui auraient été commis à Bangui et dans d'autres localités de la République centrafricaine en 2013 et 2014, a été remis lundi à la Cour pénale internationale par le Tchad.
Maxime Mokom était le chef d'un groupe armé anti-balaka (milices autoproclamées d'autodéfense) allié aux principaux groupes armés qui opéraient en Centrafrique. Il était en 2019 devenu ministre chargé du Désarmement, de la Démobilisation, de la Réinsertion et du Rapatriement (DDRR). L'homme est suspecté de crimes qui auraient été commis à Bangui et dans d'autres localités de la République centrafricaine en 2013 et 2014, a indiqué la CPI dans un communiqué.
Maxime Mokom était le chef d'un groupe armé anti-balaka (milices autoproclamées d'autodéfense) allié aux principaux groupes armés qui opéraient en Centrafrique. Il était en 2019 devenu ministre chargé du Désarmement, de la Démobilisation, de la Réinsertion et du Rapatriement (DDRR). L'homme est suspecté de crimes qui auraient été commis à Bangui et dans d'autres localités de la République centrafricaine en 2013 et 2014, a indiqué la CPI dans un communiqué.