Nations unies (Etats-Unis) - Le président américain Donald Trump et son homologue chinois Xi Jinping se sont engagés lundi lors d'un entretien téléphonique à "maximiser la pression sur la Corée du Nord via une application vigoureuse des résolutions du Conseil de sécurité de l'ONU", a affirmé la Maison Blanche.
Les deux dirigeants ont discuté "du mépris de la Corée du Nord à l'égard de la communauté internationale et de ses efforts pour déstabiliser l'Asie du nord-est", a ajouté la présidence américaine.
Donald Trump se trouve à New York pour le grand rendez-vous des Nations unies, où il prononcera mardi son premier discours en tant que président, mais Xi Jinping ne participe pas cette année à l'Assemblée générale.
Les ministres des Affaires étrangères des pays membres du Conseil de sécurité de l'ONU se réuniront jeudi pour s'entretenir sur la prolifération des armes de destruction massive et sur la menace nucléaire causée par la Corée du Nord.
"Nous aurons de nombreuses occasions de discuter de cela avec de très nombreux dirigeants internationaux", a déclaré lundi matin le secrétaire d'Etat américain Rex Tillerson avant une réunion avec ses homologues japonais et indienne à New York.
"Les résolutions du Conseil de sécurité de l'ONU parlent vraiment d'elles-mêmes" et expriment "une vision unanime de ce qu'il faut faire pour que la Corée du Nord modifie son attitude", a-t-il ajouté.
Le Conseil de sécurité a adopté cet été deux nouveaux trains de sanctions de plus en plus fermes contre Pyongyang, le dernier après le plus puissant essai nucléaire nord-coréen à ce jour.
La Chine, comme la Russie, ont exprimé des réticences face à la volonté américaine de renforcer toujours plus les sanctions, mais ont fini par voter ces résolutions.
Depuis, Washington a appelé Pékin et Moscou à faire pression plus fortement pour pousser le régime de Kim Jong-Un à abandonner ses ambitions nucléaires et à revenir à la table des négociations.
La Chine doit notamment utiliser le "levier très puissant" que représente son approvisionnement en pétrole à destination de la Corée du Nord, a estimé la semaine dernière Rex Tillerson.
Selon l'agence de presse officielle chinoise Xinhua, Xi Jinping et Donald Trump ont évoqué, outre "la situation dans la péninsule coréenne", la prochaine visite du président américain en Chine, prévue d'ici la fin de l'année pour donner un "nouvel élan" aux relations entre les deux grandes puissances. (AFP)
Les deux dirigeants ont discuté "du mépris de la Corée du Nord à l'égard de la communauté internationale et de ses efforts pour déstabiliser l'Asie du nord-est", a ajouté la présidence américaine.
Donald Trump se trouve à New York pour le grand rendez-vous des Nations unies, où il prononcera mardi son premier discours en tant que président, mais Xi Jinping ne participe pas cette année à l'Assemblée générale.
Les ministres des Affaires étrangères des pays membres du Conseil de sécurité de l'ONU se réuniront jeudi pour s'entretenir sur la prolifération des armes de destruction massive et sur la menace nucléaire causée par la Corée du Nord.
"Nous aurons de nombreuses occasions de discuter de cela avec de très nombreux dirigeants internationaux", a déclaré lundi matin le secrétaire d'Etat américain Rex Tillerson avant une réunion avec ses homologues japonais et indienne à New York.
"Les résolutions du Conseil de sécurité de l'ONU parlent vraiment d'elles-mêmes" et expriment "une vision unanime de ce qu'il faut faire pour que la Corée du Nord modifie son attitude", a-t-il ajouté.
Le Conseil de sécurité a adopté cet été deux nouveaux trains de sanctions de plus en plus fermes contre Pyongyang, le dernier après le plus puissant essai nucléaire nord-coréen à ce jour.
La Chine, comme la Russie, ont exprimé des réticences face à la volonté américaine de renforcer toujours plus les sanctions, mais ont fini par voter ces résolutions.
Depuis, Washington a appelé Pékin et Moscou à faire pression plus fortement pour pousser le régime de Kim Jong-Un à abandonner ses ambitions nucléaires et à revenir à la table des négociations.
La Chine doit notamment utiliser le "levier très puissant" que représente son approvisionnement en pétrole à destination de la Corée du Nord, a estimé la semaine dernière Rex Tillerson.
Selon l'agence de presse officielle chinoise Xinhua, Xi Jinping et Donald Trump ont évoqué, outre "la situation dans la péninsule coréenne", la prochaine visite du président américain en Chine, prévue d'ici la fin de l'année pour donner un "nouvel élan" aux relations entre les deux grandes puissances. (AFP)