PARIS (Reuters) - Déterminé à "tourner la page avec des recettes qui ont échoué", Benoît Hamon s'est présenté jeudi soir en "combattant" déterminé à rassembler sa famille politique malgré les doutes et les critiques d'une partie des socialistes sur sa campagne.
Dans l'Émission politique, sur France 2, le candidat à l'élection présidentielle a rappelé à ses détracteurs la "légitimité" tirée de sa victoire à la primaire organisée en janvier par le PS.
"Si, à la première salve, quelques-uns se dispersent, déguerpissent, soit. Mais moi aujourd'hui ma responsabilité, elle est d'abord vis-à-vis du peuple de gauche qui m'a confié le devoir d'être au second tour de l'élection présidentielle et de l'emporter", a-t-il déclaré.
Des ministres comme Patrick Kanner et des ténors du PS comme le président de l'Assemblée nationale, Claude Bartolone, ont dit ne pas "se retrouver" dans la ligne défendue par l'ancien "frondeur".
Certains, comme l'ancien maire de Paris Bertrand Delanoë, ont même déjà fait le choix de rejoindre l'ancien ministre Emmanuel Macron, bien mieux placé que Benoît Hamon dans les sondages d'opinion.
"Je ne suis pas là pour couper les têtes, quel sens cela aurait-il ? Je veux rassembler toute ma famille, je suis un combattant. De là où je viens j'ai appris à me battre, y compris quand le vent est mauvais", a dit le candidat socialiste sur France 2. "Je vais continuer à convaincre et à rassembler".
Benoît Hamon a rappelé qu'il était soutenu par des figures du PS comme les ex-ministres Martine Aubry, Christiane Taubira, Vincent Peillon et Arnaud Montebourg, des membres de l'actuel gouvernement comme Thierry Mandon et Matthias Fekl ou encore des maires de grandes villes comme Anne Hidalgo et Johanna Rolland.
Dans la perspective du scrutin du 23 avril et du 7 mai, il a dit vouloir "faire confiance dans l'intelligence collective des Français".
Dans l'Émission politique, sur France 2, le candidat à l'élection présidentielle a rappelé à ses détracteurs la "légitimité" tirée de sa victoire à la primaire organisée en janvier par le PS.
"Si, à la première salve, quelques-uns se dispersent, déguerpissent, soit. Mais moi aujourd'hui ma responsabilité, elle est d'abord vis-à-vis du peuple de gauche qui m'a confié le devoir d'être au second tour de l'élection présidentielle et de l'emporter", a-t-il déclaré.
Des ministres comme Patrick Kanner et des ténors du PS comme le président de l'Assemblée nationale, Claude Bartolone, ont dit ne pas "se retrouver" dans la ligne défendue par l'ancien "frondeur".
Certains, comme l'ancien maire de Paris Bertrand Delanoë, ont même déjà fait le choix de rejoindre l'ancien ministre Emmanuel Macron, bien mieux placé que Benoît Hamon dans les sondages d'opinion.
"Je ne suis pas là pour couper les têtes, quel sens cela aurait-il ? Je veux rassembler toute ma famille, je suis un combattant. De là où je viens j'ai appris à me battre, y compris quand le vent est mauvais", a dit le candidat socialiste sur France 2. "Je vais continuer à convaincre et à rassembler".
Benoît Hamon a rappelé qu'il était soutenu par des figures du PS comme les ex-ministres Martine Aubry, Christiane Taubira, Vincent Peillon et Arnaud Montebourg, des membres de l'actuel gouvernement comme Thierry Mandon et Matthias Fekl ou encore des maires de grandes villes comme Anne Hidalgo et Johanna Rolland.
Dans la perspective du scrutin du 23 avril et du 7 mai, il a dit vouloir "faire confiance dans l'intelligence collective des Français".