BEYROUTH (Reuters) - Des médias officiels syriens ont affirmé dimanche que des groupes "terroristes" avaient lancé des gaz nocifs sur un des secteurs de la partie ouest d'Alep, sous contrôle gouvernemental.
Le directeur d'un hôpital d'Alep, cité par la télévision nationale, a parlé de 36 civils et soldats qui ont suffoqué en raison de l'utilisation de gaz chloré.
D'après l'agence de presse SANA, des obus contenant des gaz toxiques ont été tirés sur le quartier d'Al Hamdaniya.
L'information a été catégoriquement démentie par le groupe Fastakim, une des factions rebelles qui tiennent Alep-Est.
"C'est un mensonge", a assuré le chef des services politiques de Fastakim, Zakaria Malahifjim.
De son côté, l'Observatoire syrien des droits de l'homme (OSDH), organisation proche de l'opposition, confirme les informations faisant état de suffocations parmi des soldats gouvernementaux dans deux secteurs de la ligne de front pilonnés par les rebelles. L'OSDH dit en revanche ignorer si du gaz chloré en est à l'origine.
Les rebelles syriens, y compris des djihadistes, ont lancé vendredi une contre-attaque à Alep contre l'armée syrienne et ses alliés dans le but de briser le siège des quartiers Est.
Le directeur d'un hôpital d'Alep, cité par la télévision nationale, a parlé de 36 civils et soldats qui ont suffoqué en raison de l'utilisation de gaz chloré.
D'après l'agence de presse SANA, des obus contenant des gaz toxiques ont été tirés sur le quartier d'Al Hamdaniya.
L'information a été catégoriquement démentie par le groupe Fastakim, une des factions rebelles qui tiennent Alep-Est.
"C'est un mensonge", a assuré le chef des services politiques de Fastakim, Zakaria Malahifjim.
De son côté, l'Observatoire syrien des droits de l'homme (OSDH), organisation proche de l'opposition, confirme les informations faisant état de suffocations parmi des soldats gouvernementaux dans deux secteurs de la ligne de front pilonnés par les rebelles. L'OSDH dit en revanche ignorer si du gaz chloré en est à l'origine.
Les rebelles syriens, y compris des djihadistes, ont lancé vendredi une contre-attaque à Alep contre l'armée syrienne et ses alliés dans le but de briser le siège des quartiers Est.