Des experts de l'ONU accusent des hauts responsables maliens de l'armée et des services de renseignements de "compromettre" l'application de l'accord de paix d'Alger, en dépit d'appels pressants de la communauté internationale pour résoudre la crise. Ce rapport, remis au Conseil de sécurité de l'ONU le 7 août, n'est pas encore rendu public.
L'AFP en a pris connaissance vendredi, alors que le Mali fait depuis plusieurs mois face à une nouvelle contestation politique majeure. Une coalition d'opposants, de religieux et de personnalités de la société civile demande depuis juin la démission du président Ibrahim Boubacar Keïta (IBK) en l'accusant notamment ainsi que son entourage de corruption et de népotisme. Au moins quatorze Maliens ont été tués en juillet dans des troubles selon l'ONU. (AFP)
L'AFP en a pris connaissance vendredi, alors que le Mali fait depuis plusieurs mois face à une nouvelle contestation politique majeure. Une coalition d'opposants, de religieux et de personnalités de la société civile demande depuis juin la démission du président Ibrahim Boubacar Keïta (IBK) en l'accusant notamment ainsi que son entourage de corruption et de népotisme. Au moins quatorze Maliens ont été tués en juillet dans des troubles selon l'ONU. (AFP)