Une représentante helvétique de 52 ans est décédée après une chute du 17e étage de l’immeuble où elle était domiciliée. La police iranienne a ouvert une enquête.
La police iranienne a annoncé mardi l’ouverture d’une enquête sur les circonstances de la mort d’une diplomate suisse. Le corps de la femme a été retrouvé dans la matinée au pied d’un immeuble du nord de Téhéran après une «chute».
«Les unités spécialisées de la police sont en train d’examiner l’affaire» de la mort de cette «Suissesse de 52 ans employée par l’ambassade de Suisse», écrit la police nationale dans un bref message publié sur son site internet. L’hypothèse d’un suicide a été exclue, a précisé un porte-parole du service national des secours, cité par l’agence iranienne Irna et rapporté par l’agence italienne Ansa.
Dans des déclarations transmises à la presse, ce porte-parole, Mojtaba Khalédi, précise que le corps de cette «fonctionnaire de l’ambassade» a été retrouvé dans la matinée après qu’elle soit «tombée d’une tour (d’habitation) de Kamranieh», quartier du nord de la capitale.
Joint par l’AFP, Mojtaba Khalédi a précisé que la diplomate était tombée du 17e étage de l’immeuble où elle habitait. On ignorait tout en début d’après-midi des circonstances du drame.
«Collaboratrice de haut rang»
Le Département fédéral des affaires étrangères (DFAE) a confirmé à Keystone-ATS la mort accidentelle de cette femme, de nationalité suisse. Il a refusé de donner plus d’informations, pour des raisons de protection de la personnalité et de la sphère privée.
Le conseiller fédéral Ignazio Cassis s’est dit «choqué par ce décès tragique» et a présenté ses condoléances à la famille de la victime. Le DFAE est en contact avec les proches de la quinquagénaire et l’ambassade avec les autorités locales.
Selon les agences iraniennes Irna et Isna, citées par Reuters, la victime était «une collaboratrice de haut rang» de l’ambassade. Elle aurait le rang de numéro deux de la représentation diplomatique.
La Suisse représente les intérêts américains en Iran depuis la rupture des relations diplomatiques entre la République islamique et les États-Unis en 1980. (ATS)
La police iranienne a annoncé mardi l’ouverture d’une enquête sur les circonstances de la mort d’une diplomate suisse. Le corps de la femme a été retrouvé dans la matinée au pied d’un immeuble du nord de Téhéran après une «chute».
«Les unités spécialisées de la police sont en train d’examiner l’affaire» de la mort de cette «Suissesse de 52 ans employée par l’ambassade de Suisse», écrit la police nationale dans un bref message publié sur son site internet. L’hypothèse d’un suicide a été exclue, a précisé un porte-parole du service national des secours, cité par l’agence iranienne Irna et rapporté par l’agence italienne Ansa.
Dans des déclarations transmises à la presse, ce porte-parole, Mojtaba Khalédi, précise que le corps de cette «fonctionnaire de l’ambassade» a été retrouvé dans la matinée après qu’elle soit «tombée d’une tour (d’habitation) de Kamranieh», quartier du nord de la capitale.
Joint par l’AFP, Mojtaba Khalédi a précisé que la diplomate était tombée du 17e étage de l’immeuble où elle habitait. On ignorait tout en début d’après-midi des circonstances du drame.
«Collaboratrice de haut rang»
Le Département fédéral des affaires étrangères (DFAE) a confirmé à Keystone-ATS la mort accidentelle de cette femme, de nationalité suisse. Il a refusé de donner plus d’informations, pour des raisons de protection de la personnalité et de la sphère privée.
Le conseiller fédéral Ignazio Cassis s’est dit «choqué par ce décès tragique» et a présenté ses condoléances à la famille de la victime. Le DFAE est en contact avec les proches de la quinquagénaire et l’ambassade avec les autorités locales.
Selon les agences iraniennes Irna et Isna, citées par Reuters, la victime était «une collaboratrice de haut rang» de l’ambassade. Elle aurait le rang de numéro deux de la représentation diplomatique.
La Suisse représente les intérêts américains en Iran depuis la rupture des relations diplomatiques entre la République islamique et les États-Unis en 1980. (ATS)