Avec à leur tête le nouvel Hitler Donald Trump, les puissances impérialistes des USA et de l’U.E (en particulier la France, l’Espagne, le Royaume Uni, le Portugal, l’Allemagne, etc.), prétendument championnes de la « démocratie » et de « l’Etat de droit », ainsi que d’autres pays comme le Canada et Israël, se sont ligués pour «reconnaître officiellement le président de l’Assemblée nationale comme président intérimaire du Venezuela», en la personne de Juan Guaido, président autoproclamé en parfaite violation de la Constitution et des lois de la République Bolivarienne du Venezuela.
Le sabotage économique, le blocus financier, le chantage diplomatique, les tentatives d’assassinat, le matraquage et les manipulations médiatiques, les manœuvres de déstabilisation politique et sociale, tous les moyens sont déployés pour préparer l’opinion, dans l'objectif de justifier une intervention militaire contre le gouvernement, le peuple et Nicolas Maduro, le Président élu et légitime de la République Bolivarienne du Venezuela.
Le président Trump a déclaré que «toutes les options sont sur la table», l’option militaire en particulier bien entendu. Juan Guaido, le nouveau poulain des USA et de la droite vénézuélienne, se sentant pousser des ailes, pense que ‘’la chose est mure’’ et qu’il est temps d’en finir avec la révolution bolivarienne. Dès le 8 janvier, deux jours avant la prestation de serment de Nicolas Maduro, Juan Guaido et son Assemblée nationale illégale avaient voté une Loi sur la transition dans le but de s’emparer du pouvoir exécutif.
Les USA et nombre de pays laquais du groupe de Lima s’étaient alors empressés de soutenir cette initiative putschiste. Versant ouvertement dans la provocation, les Etats-Unis, qui ne sont pas membres du Groupe de Lima, ont participé à leur réunion à travers une visioconférence du secrétaire d'Etat Mike Pompeo, afin d’inciter à la reconnaissance de pouvoirs publics illégitimement proclamés au Venezuela. En début 2018 déjà, le vice-président américain, Mike Pence, avait publiquement appelé les Vénézuéliens à se soulever contre leur gouvernement légitime.
Bien souvent, la mise en place d’institutions publiques montées de toutes pièces, comme naguère le Conseil national de transition en Libye ou le Conseil de salut national en Syrie, constitue un sinistre prélude aux bombardements, au débarquement de mercenaires ou aux tentatives d’invasion, aux conséquences hélas désastreuses, contre des pays qui dérangent l’ordre impérialiste établi.
Les USA, la France, le Royaume Uni et leurs compères n’hésitent pas à tenter d’instrumentaliser la prétendue communauté internationale, le Conseil de Sécurité des Nations Unies en particulier, pour réussir leur sale besogne. D’autres pays cependant comme Cuba, l’Afrique du Sud, la Russie, la Chine, l’Inde, l’Iran, et tant d’autres dans les quatre coins du monde, reconnaissent la légitimité du président Maduro et lui expriment leur solidarité.
Quant au peuple vénézuélien lui-même, il est suffisamment vacciné et prêt à résister. En 2002 déjà, il s’était mobilisé et avait vaillamment réussi à faire échec au coup d’Etat perpétré contre le Président Hugo Chavez Frias. Aujourd’hui plus que jamais, il continue à défendre sa révolution. L’armée nationale soutient fermement la Constitution, l’indépendance et la souveraineté de la République Bolivarienne du Venezuela. Si une vingtaine de soldats ont été arrêtés récemment pour avoir tenté de s’approprier un dépôt d’armes, par contre l’écrasante majorité des soldats et des réservistes ont réaffirmé leur loyauté au pouvoir révolutionnaire.
Que personne ne s’y trompe, une large part du destin des peuples du monde, ceux du Sud en particulier, aujourd’hui et demain, est en train de se jouer présentement au Venezuela. Nous sommes tous concernés et interpellés. Barrer la route à l’impérialisme US, aux puissances d’argent prédatrices et aux droites fascistes, soutenir en actes et par tous les moyens possibles la résistance du peuple vénézuélien, de son Président élu et de son gouvernement légitime, est un impératif internationaliste catégorique pour tous les vrais démocrates, patriotes, anti-impérialistes et progressistes, attachés à la paix, au respect de l’indépendance nationale et de la souveraineté des peuples.
Nous sommes tous Venezuela !
Pour Yoonu Askan Wi Pour le RND
Le Délégué Général Le Secrétaire Général Honoraire
Madieye Mbodj, Dialo Diop
Le sabotage économique, le blocus financier, le chantage diplomatique, les tentatives d’assassinat, le matraquage et les manipulations médiatiques, les manœuvres de déstabilisation politique et sociale, tous les moyens sont déployés pour préparer l’opinion, dans l'objectif de justifier une intervention militaire contre le gouvernement, le peuple et Nicolas Maduro, le Président élu et légitime de la République Bolivarienne du Venezuela.
Le président Trump a déclaré que «toutes les options sont sur la table», l’option militaire en particulier bien entendu. Juan Guaido, le nouveau poulain des USA et de la droite vénézuélienne, se sentant pousser des ailes, pense que ‘’la chose est mure’’ et qu’il est temps d’en finir avec la révolution bolivarienne. Dès le 8 janvier, deux jours avant la prestation de serment de Nicolas Maduro, Juan Guaido et son Assemblée nationale illégale avaient voté une Loi sur la transition dans le but de s’emparer du pouvoir exécutif.
Les USA et nombre de pays laquais du groupe de Lima s’étaient alors empressés de soutenir cette initiative putschiste. Versant ouvertement dans la provocation, les Etats-Unis, qui ne sont pas membres du Groupe de Lima, ont participé à leur réunion à travers une visioconférence du secrétaire d'Etat Mike Pompeo, afin d’inciter à la reconnaissance de pouvoirs publics illégitimement proclamés au Venezuela. En début 2018 déjà, le vice-président américain, Mike Pence, avait publiquement appelé les Vénézuéliens à se soulever contre leur gouvernement légitime.
Bien souvent, la mise en place d’institutions publiques montées de toutes pièces, comme naguère le Conseil national de transition en Libye ou le Conseil de salut national en Syrie, constitue un sinistre prélude aux bombardements, au débarquement de mercenaires ou aux tentatives d’invasion, aux conséquences hélas désastreuses, contre des pays qui dérangent l’ordre impérialiste établi.
Les USA, la France, le Royaume Uni et leurs compères n’hésitent pas à tenter d’instrumentaliser la prétendue communauté internationale, le Conseil de Sécurité des Nations Unies en particulier, pour réussir leur sale besogne. D’autres pays cependant comme Cuba, l’Afrique du Sud, la Russie, la Chine, l’Inde, l’Iran, et tant d’autres dans les quatre coins du monde, reconnaissent la légitimité du président Maduro et lui expriment leur solidarité.
Quant au peuple vénézuélien lui-même, il est suffisamment vacciné et prêt à résister. En 2002 déjà, il s’était mobilisé et avait vaillamment réussi à faire échec au coup d’Etat perpétré contre le Président Hugo Chavez Frias. Aujourd’hui plus que jamais, il continue à défendre sa révolution. L’armée nationale soutient fermement la Constitution, l’indépendance et la souveraineté de la République Bolivarienne du Venezuela. Si une vingtaine de soldats ont été arrêtés récemment pour avoir tenté de s’approprier un dépôt d’armes, par contre l’écrasante majorité des soldats et des réservistes ont réaffirmé leur loyauté au pouvoir révolutionnaire.
Que personne ne s’y trompe, une large part du destin des peuples du monde, ceux du Sud en particulier, aujourd’hui et demain, est en train de se jouer présentement au Venezuela. Nous sommes tous concernés et interpellés. Barrer la route à l’impérialisme US, aux puissances d’argent prédatrices et aux droites fascistes, soutenir en actes et par tous les moyens possibles la résistance du peuple vénézuélien, de son Président élu et de son gouvernement légitime, est un impératif internationaliste catégorique pour tous les vrais démocrates, patriotes, anti-impérialistes et progressistes, attachés à la paix, au respect de l’indépendance nationale et de la souveraineté des peuples.
Nous sommes tous Venezuela !
Pour Yoonu Askan Wi Pour le RND
Le Délégué Général Le Secrétaire Général Honoraire
Madieye Mbodj, Dialo Diop