NAIROBI (Reuters) - Des hommes armés portant des uniformes de la police et de l'armée ont tué trois personnes et en ont blessé trois autres dans un bar d'un quartier très surveillé de Bujumbura, la plus grande ville du Burundi, vendredi soir, selon la police et les habitants.
L'attaque a eu lieu dans le district de Rohero, où la violence est rare et où les fonctionnaires ont souvent la protection de leur propre personnel de sécurité.
"Des malfaiteurs non identifiés armés d'AK 47 ont attaqué des personnes pacifiques en train de boire un verre dans un bar, faisant trois morts et trois blessés", a déclaré Moïse Nkurunziza, porte-parole adjoint de la police, ajoutant que les agresseurs ont également fait exploser une grenade.
Un soldat affecté à Rohero en tant que garde de sécurité pour un haut fonctionnaire près du lieu de l'attaque a déclaré que la police avait mené une opération de recherche tôt samedi, mais n'avait procédé à aucune arrestation.
L'année dernière, le Burundi a déplacé sa capitale de Bujumbura, un port sur le lac Tanganyika, à Gitega, la ville centrale beaucoup plus petite.
En septembre, les Nations Unies ont déclaré que le Burundi risquait de connaître une nouvelle vague de violence à l'approche des élections de l'année prochaine avec une crise politique non résolue et le Président Pierre Nkurunziza de plus en plus présenté comme un dirigeant "divin". Le gouvernement a dit que ce rapport ne reflétait pas la réalité.
L'attaque a eu lieu dans le district de Rohero, où la violence est rare et où les fonctionnaires ont souvent la protection de leur propre personnel de sécurité.
"Des malfaiteurs non identifiés armés d'AK 47 ont attaqué des personnes pacifiques en train de boire un verre dans un bar, faisant trois morts et trois blessés", a déclaré Moïse Nkurunziza, porte-parole adjoint de la police, ajoutant que les agresseurs ont également fait exploser une grenade.
Un soldat affecté à Rohero en tant que garde de sécurité pour un haut fonctionnaire près du lieu de l'attaque a déclaré que la police avait mené une opération de recherche tôt samedi, mais n'avait procédé à aucune arrestation.
L'année dernière, le Burundi a déplacé sa capitale de Bujumbura, un port sur le lac Tanganyika, à Gitega, la ville centrale beaucoup plus petite.
En septembre, les Nations Unies ont déclaré que le Burundi risquait de connaître une nouvelle vague de violence à l'approche des élections de l'année prochaine avec une crise politique non résolue et le Président Pierre Nkurunziza de plus en plus présenté comme un dirigeant "divin". Le gouvernement a dit que ce rapport ne reflétait pas la réalité.
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