Le groupe français de BTP et de concessions Eiffage a annoncé lundi le début des travaux de la voie ferrée du futur train express reliant Dakar à son nouvel aéroport international, dans le cadre d'un contrat de plus de 373 millions d'euros. Cette nouvelle ligne ferroviaire de 55 kilomètres reliera la capitale sénégalaise à l'aéroport Blaise-Diagne, via 14 stations, "en 45 minutes, au rythme d'un train tous les quarts d'heure", précise Eiffage dans un communiqué.
Les travaux "sont assortis d'un délai de 41 mois", ajoute le groupe, bien que le président sénégalais Macky Sall ait donné "rendez-vous le lundi 14 janvier 2019 pour l'inauguration" du TER. La mise en service de l'aéroport Blaise Diagne, plusieurs fois reportée, est quant à elle prévue pour décembre 2017. La construction de la voie ferrée a été attribuée à un consortium détenu à 45% par Eiffage, aux côtés des entreprises turque Yapi Merkezi et sénégalaise CSE. Le montant du contrat est de 373,5 millions d'euros, soit 245 milliards de francs CFA.
Cette somme s'ajoute aux 225 millions d'euros (148 milliards de francs CFA) qui seront versés à Engie et Thales pour la signalisation ferroviaire, l'alimentation électrique et les systèmes de communication. Le gouvernement sénégalais a en outre commandé 15 trains "bi-mode" - diesel et électrique - de quatre voitures chacun, capables de transporter 400 passagers à 160 km/h. (AFP)
Les travaux "sont assortis d'un délai de 41 mois", ajoute le groupe, bien que le président sénégalais Macky Sall ait donné "rendez-vous le lundi 14 janvier 2019 pour l'inauguration" du TER. La mise en service de l'aéroport Blaise Diagne, plusieurs fois reportée, est quant à elle prévue pour décembre 2017. La construction de la voie ferrée a été attribuée à un consortium détenu à 45% par Eiffage, aux côtés des entreprises turque Yapi Merkezi et sénégalaise CSE. Le montant du contrat est de 373,5 millions d'euros, soit 245 milliards de francs CFA.
Cette somme s'ajoute aux 225 millions d'euros (148 milliards de francs CFA) qui seront versés à Engie et Thales pour la signalisation ferroviaire, l'alimentation électrique et les systèmes de communication. Le gouvernement sénégalais a en outre commandé 15 trains "bi-mode" - diesel et électrique - de quatre voitures chacun, capables de transporter 400 passagers à 160 km/h. (AFP)