Les fonctionnaires de police sont suspectés d'avoir tiré au flash-ball lors d'une nuit d'émeutes sur Hedi, un jeune homme de 22 ans qui a été hospitalisé.
Mardi 19 juillet, sept policiers ont été placés en garde à vue et auditionnés par l'IGPN pour le motif de "violences en réunion par personne dépositaire de l'autorité publique ayant entraîné une ITT supérieure à 8 jours". Trois d’entre eux ont été remis en liberté, les quatre autres ont été déférés.
Ces derniers sont arrivés peu après 9 heures au Tribunal de Marseille. A leur sortie de la préfecture de police leurs collègues rassemblés devant l'institution les ont accueillis sous les applaudissements.
Un traumatisme crânien
Dans la nuit du 1er au 2 juillet, Hedi raconte avoir été roué de "coups de pieds, de poings et de matraque" par des personnes qu'il identifie comme des forces de l'ordre. Le jeune homme a été hospitalisé et raconte dans un entretien à La Provence que l'équipe médicale a trouvé des "morceaux de flash-ball" dans son crâne. Il souffre d'un traumatisme crânien et séjourne toujours à l'hôpital.
Les faits présumés se sont produits en pleine semaine d'émeutes qui ont frappé la France, suite à la mort du jeune Nahel à Nanterre le 27 juin dernier.
La version des policiers n'est toujours pas connue à ce jour.
Mardi 19 juillet, sept policiers ont été placés en garde à vue et auditionnés par l'IGPN pour le motif de "violences en réunion par personne dépositaire de l'autorité publique ayant entraîné une ITT supérieure à 8 jours". Trois d’entre eux ont été remis en liberté, les quatre autres ont été déférés.
Ces derniers sont arrivés peu après 9 heures au Tribunal de Marseille. A leur sortie de la préfecture de police leurs collègues rassemblés devant l'institution les ont accueillis sous les applaudissements.
Un traumatisme crânien
Dans la nuit du 1er au 2 juillet, Hedi raconte avoir été roué de "coups de pieds, de poings et de matraque" par des personnes qu'il identifie comme des forces de l'ordre. Le jeune homme a été hospitalisé et raconte dans un entretien à La Provence que l'équipe médicale a trouvé des "morceaux de flash-ball" dans son crâne. Il souffre d'un traumatisme crânien et séjourne toujours à l'hôpital.
Les faits présumés se sont produits en pleine semaine d'émeutes qui ont frappé la France, suite à la mort du jeune Nahel à Nanterre le 27 juin dernier.
La version des policiers n'est toujours pas connue à ce jour.
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