Téhéran - Rivaux sur le front diplomatique, l'Iran et les Etats-Unis se sont retrouvés vendredi face à face sur le terrain sportif en finale de la Coupe du monde de lutte organisée par la République islamique, où ce sport est très populaire.
Cette finale a failli ne pas avoir lieu car l'équipe américaine de lutte n'a été autorisée à se rendre en Iran qu'à la dernière minute, après la suspension du décret américain interdisant l'entrée aux Etats-Unis des ressortissants de sept pays à majorité musulmane dont l'Iran.
Après trois jours de compétition dans la ville à majorité kurde de Kermanshah (ouest), l'Iran a battu les Etats-Unis vendredi en remportant cinq des huit catégories.
Tout s'est joué sur le dernier match qui a vu l'Iranien Komeil Ghasemi battre son homologue américain Nick Gwiazdowski dans la catégorie des 125 kg, permettant ainsi à la République islamique d'arracher la médaille d'or.
Les 13 lutteurs de l'équipe américaine avaient été autorisés à se rendre en Iran le 5 février à la suite de la décision d'un tribunal américain de suspendre le décret controversé émis par le président Donald Trump.
Téhéran avait auparavant réagi à ce décret en interdisant l'entrée des Américains en Iran.
Depuis le début de la Coupe du monde, les athlètes des deux pays ont insisté sur leur volonté de rassembler leurs nations à travers le sport.
"Je suis très reconnaissant de l'accueil chaleureux que nous avons reçu aujourd'hui et d'autant plus reconnaissant que ce voyage ait été rendu possible", a écrit lundi le lutteur américain Jordan Burroughs, triple champion du monde, sur son compte Instagram.
"Nous sommes très heureux d'être ici en Iran, et prêts pour la compétition!", a-t-il ajouté sous une photo où on le voit arriver à l'aéroport, entouré d'une foule d'Iraniens.
"Tellement d'amour et de respect pour les Etats-Unis ici à Kermanshah, Iran", a écrit un autre lutteur, Richard Perry.
La lutte est un sport très populaire en Iran et la Coupe du monde a connu une affluence importante cette semaine. Selon les médias locaux, des dizaines de supporters avaient fait la queue vendredi matin devant le stade pour obtenir un billet pour la finale.
Cette finale a failli ne pas avoir lieu car l'équipe américaine de lutte n'a été autorisée à se rendre en Iran qu'à la dernière minute, après la suspension du décret américain interdisant l'entrée aux Etats-Unis des ressortissants de sept pays à majorité musulmane dont l'Iran.
Après trois jours de compétition dans la ville à majorité kurde de Kermanshah (ouest), l'Iran a battu les Etats-Unis vendredi en remportant cinq des huit catégories.
Tout s'est joué sur le dernier match qui a vu l'Iranien Komeil Ghasemi battre son homologue américain Nick Gwiazdowski dans la catégorie des 125 kg, permettant ainsi à la République islamique d'arracher la médaille d'or.
Les 13 lutteurs de l'équipe américaine avaient été autorisés à se rendre en Iran le 5 février à la suite de la décision d'un tribunal américain de suspendre le décret controversé émis par le président Donald Trump.
Téhéran avait auparavant réagi à ce décret en interdisant l'entrée des Américains en Iran.
Depuis le début de la Coupe du monde, les athlètes des deux pays ont insisté sur leur volonté de rassembler leurs nations à travers le sport.
"Je suis très reconnaissant de l'accueil chaleureux que nous avons reçu aujourd'hui et d'autant plus reconnaissant que ce voyage ait été rendu possible", a écrit lundi le lutteur américain Jordan Burroughs, triple champion du monde, sur son compte Instagram.
"Nous sommes très heureux d'être ici en Iran, et prêts pour la compétition!", a-t-il ajouté sous une photo où on le voit arriver à l'aéroport, entouré d'une foule d'Iraniens.
"Tellement d'amour et de respect pour les Etats-Unis ici à Kermanshah, Iran", a écrit un autre lutteur, Richard Perry.
La lutte est un sport très populaire en Iran et la Coupe du monde a connu une affluence importante cette semaine. Selon les médias locaux, des dizaines de supporters avaient fait la queue vendredi matin devant le stade pour obtenir un billet pour la finale.