Washington - L'ex-conseiller à la sécurité nationale de Donald Trump, Michael Flynn, a proposé au FBI et aux parlementaires enquêtant sur les liens de proches du président américain avec la Russie d'être entendu en échange d'une immunité, a rapporté jeudi soir le Wall Street Journal.
Cette offre soumise à la police fédérale américaine (FBI) ainsi qu'aux deux commissions d'enquête de la Chambre des représentants et du Sénat, n'a pas pour l'instant été acceptée, précise le journal américain sur son site, en s'appuyant sur plusieurs responsables anonymes proches de l'affaire.
Michael Flynn a été forcé de démissionner le 13 février, trois mois seulement après avoir été nommé, après la révélation de contacts répétés avec l'ambassadeur russe aux Etats-Unis alors même que l'administration de Barack Obama imposait des sanctions contre Moscou.
Le "général Flynn a assurément une histoire à raconter et il veut vraiment la raconter, si toutefois les circonstances le permettent", a écrit son avocat Robert Kelner dans un communiqué.
"Par respect pour les commissions" d'enquête au Congrès, a-t-il précisé, "nous ne commenterons pas les détails des discussions" entre l'ancien conseiller et celles-ci.
Le Wall Street Journal également "ignore si M. Flynn a proposé de parler d'aspects spécifiques du temps qu'il a passé à travailler pour M. Trump, mais le fait qu'il cherche une immunité suggère que M. Flynn sent qu'il pourrait faire face à des ennuis judiciaires après son bref passage au poste de conseiller à la sécurité nationale", selon un responsable anonyme.
"Mike Flynn devrait demander l'immunité", a tweeté vendredi matin Donald Trump, évoquant une "chasse aux sorcières" politique fomentée par les médias et l'opposition démocrate.
Ancien directeur du renseignement militaire écarté par Barack Obama puis recruté par Donald Trump, Michael Flynn avait été nommé conseiller à la sécurité nationale en novembre dernier après avoir conseillé le milliardaire pendant sa campagne.
Des enquêtes parlementaires et du FBI s'intéressent à l'ingérence russe dans la campagne présidentielle de 2016, et notamment à d'éventuelles collusions entre l'entourage de Donald Trump et des responsables russes, ce que le président américain dément.
Cette offre soumise à la police fédérale américaine (FBI) ainsi qu'aux deux commissions d'enquête de la Chambre des représentants et du Sénat, n'a pas pour l'instant été acceptée, précise le journal américain sur son site, en s'appuyant sur plusieurs responsables anonymes proches de l'affaire.
Michael Flynn a été forcé de démissionner le 13 février, trois mois seulement après avoir été nommé, après la révélation de contacts répétés avec l'ambassadeur russe aux Etats-Unis alors même que l'administration de Barack Obama imposait des sanctions contre Moscou.
Le "général Flynn a assurément une histoire à raconter et il veut vraiment la raconter, si toutefois les circonstances le permettent", a écrit son avocat Robert Kelner dans un communiqué.
"Par respect pour les commissions" d'enquête au Congrès, a-t-il précisé, "nous ne commenterons pas les détails des discussions" entre l'ancien conseiller et celles-ci.
Le Wall Street Journal également "ignore si M. Flynn a proposé de parler d'aspects spécifiques du temps qu'il a passé à travailler pour M. Trump, mais le fait qu'il cherche une immunité suggère que M. Flynn sent qu'il pourrait faire face à des ennuis judiciaires après son bref passage au poste de conseiller à la sécurité nationale", selon un responsable anonyme.
"Mike Flynn devrait demander l'immunité", a tweeté vendredi matin Donald Trump, évoquant une "chasse aux sorcières" politique fomentée par les médias et l'opposition démocrate.
Ancien directeur du renseignement militaire écarté par Barack Obama puis recruté par Donald Trump, Michael Flynn avait été nommé conseiller à la sécurité nationale en novembre dernier après avoir conseillé le milliardaire pendant sa campagne.
Des enquêtes parlementaires et du FBI s'intéressent à l'ingérence russe dans la campagne présidentielle de 2016, et notamment à d'éventuelles collusions entre l'entourage de Donald Trump et des responsables russes, ce que le président américain dément.