Le président turc Recep Tayyip Erdogan a condamné lundi ce qu’il a qualifié de « terrorisme » israélien à Jérusalem après de nouveaux heurts violents qui ont fait des centaines de blessés sur l’esplanade des Mosquées.
Cet ultimatum survient après la prise de position du président turc Recep Tayyip Erdogan, qui a condamné ce qu’il a qualifié de « terrorisme » israélien à Jérusalem après de nouveaux heurts violents qui ont fait des centaines de blessés sur l’esplanade des Mosquées.
Lors d’entretiens téléphoniques séparés avec le président palestinien Mahmoud Abbas et le chef du mouvement islamiste Hamas au pouvoir à Gaza Ismaïl Haniyeh, M. Abbas a « condamné dans les termes les plus forts les attaques israéliennes abominables à Jérusalem », affirmant qu’elles constituaient des actes de « terrorisme », selon la présidence turque.
M. Erdogan, qui prend régulièrement la défense des Palestiniens face à Israël, a en outre affirmé qu’il ferait « tout ce qu’il peut pour mobiliser le monde, notamment musulman, pour mettre fin au terrorisme et à l’occupation israéliens », selon la même source.
Plus tôt, son porte-parole Ibrahim Kalin a appelé Israël à « cesser d’attaquer les Palestiniens à Jérusalem et empêcher les occupants et les colons d’entrer dans la sainte Mosquée (d’al-Aqsa) ».
« Le monde doit agir pour mettre fin à cette agression israélienne interminable contre des civils non armés sur leur propre terre », a-t-il ajouté sur Twitter.
Le directeur de la communication de la présidence turque, Fahrettin Altun, a renchéri en appelant la communauté internationale à « remettre cet État d’apartheid à sa place ».
« Nous lançons un appel au monde musulman : il est temps de dire “stop” aux attaques lâches et tyranniques d’Israël […] Que l’enfer brûle pour les tyrans ! », a-t-il ajouté sur Twitter.
Des centaines de Palestiniens ont été blessés lundi lors de nouveaux affrontements avec des policiers israéliens sur l’esplanade des Mosquées à Jérusalem-Est, après un week-end de violences dans la Ville sainte, selon les secouristes palestiniens.
La reprise des violences a coïncidé avec « la Journée de Jérusalem », marquant selon le calendrier hébraïque la conquête de Jérusalem-Est par l’État hébreu.
Vendredi soir, plus de 200 personnes en grande majorité des Palestiniens ont été blessées dans des heurts entre policiers et Palestiniens sur l’esplanade des Mosquées. Samedi et dimanche, le calme était revenu sur l’esplanade, mais les heurts ont continué entre Palestiniens et policiers israéliens dans d’autres secteurs de Jérusalem-Est, faisant au total plus d’une centaine de Palestiniens blessés, selon le Croissant-Rouge palestinien.
À la suite de ces violences, M. Erdogan avait qualifié samedi Israël d’État « terroriste cruel ».
Des centaines de personnes ont manifesté en soutien aux Palestiniens dimanche soir aux abords du consulat israélien à Istanbul, en dépit d’un confinement en vigueur en Turquie pour endiguer la propagation de la pandémie de coronavirus. (AFP)
Cet ultimatum survient après la prise de position du président turc Recep Tayyip Erdogan, qui a condamné ce qu’il a qualifié de « terrorisme » israélien à Jérusalem après de nouveaux heurts violents qui ont fait des centaines de blessés sur l’esplanade des Mosquées.
Lors d’entretiens téléphoniques séparés avec le président palestinien Mahmoud Abbas et le chef du mouvement islamiste Hamas au pouvoir à Gaza Ismaïl Haniyeh, M. Abbas a « condamné dans les termes les plus forts les attaques israéliennes abominables à Jérusalem », affirmant qu’elles constituaient des actes de « terrorisme », selon la présidence turque.
M. Erdogan, qui prend régulièrement la défense des Palestiniens face à Israël, a en outre affirmé qu’il ferait « tout ce qu’il peut pour mobiliser le monde, notamment musulman, pour mettre fin au terrorisme et à l’occupation israéliens », selon la même source.
Plus tôt, son porte-parole Ibrahim Kalin a appelé Israël à « cesser d’attaquer les Palestiniens à Jérusalem et empêcher les occupants et les colons d’entrer dans la sainte Mosquée (d’al-Aqsa) ».
« Le monde doit agir pour mettre fin à cette agression israélienne interminable contre des civils non armés sur leur propre terre », a-t-il ajouté sur Twitter.
Le directeur de la communication de la présidence turque, Fahrettin Altun, a renchéri en appelant la communauté internationale à « remettre cet État d’apartheid à sa place ».
« Nous lançons un appel au monde musulman : il est temps de dire “stop” aux attaques lâches et tyranniques d’Israël […] Que l’enfer brûle pour les tyrans ! », a-t-il ajouté sur Twitter.
Des centaines de Palestiniens ont été blessés lundi lors de nouveaux affrontements avec des policiers israéliens sur l’esplanade des Mosquées à Jérusalem-Est, après un week-end de violences dans la Ville sainte, selon les secouristes palestiniens.
La reprise des violences a coïncidé avec « la Journée de Jérusalem », marquant selon le calendrier hébraïque la conquête de Jérusalem-Est par l’État hébreu.
Vendredi soir, plus de 200 personnes en grande majorité des Palestiniens ont été blessées dans des heurts entre policiers et Palestiniens sur l’esplanade des Mosquées. Samedi et dimanche, le calme était revenu sur l’esplanade, mais les heurts ont continué entre Palestiniens et policiers israéliens dans d’autres secteurs de Jérusalem-Est, faisant au total plus d’une centaine de Palestiniens blessés, selon le Croissant-Rouge palestinien.
À la suite de ces violences, M. Erdogan avait qualifié samedi Israël d’État « terroriste cruel ».
Des centaines de personnes ont manifesté en soutien aux Palestiniens dimanche soir aux abords du consulat israélien à Istanbul, en dépit d’un confinement en vigueur en Turquie pour endiguer la propagation de la pandémie de coronavirus. (AFP)