PARIS (Reuters) - François Fillon, de plus en plus isolé à droite, a appelé vendredi ses partisans à "résister" et à se rassembler nombreux dimanche place du Trocadéro, à Paris, pour montrer la "force calme" et "la volonté populaire des militants de la France".
"C'est bien plus que ma personne qui est maintenant en jeu. La France est plus grande que moi", déclare le candidat de la droite et du centre à l'élection présidentielle dans une vidéo postée sur son compte Twitter.
"Je vous le dis avec gravité : ne vous laissez pas faire, ne laissez personne vous priver de votre choix. Je vous demande de résister et plus encore : je vous invite à aller de l'avant avec la résolution des hommes et des femmes libres", ajoute-t-il.
François Fillon invite ses partisans à se rassembler "avec la force calme et la force assurée de ceux qui respectent les institutions démocratiques" afin de "montrer aux yeux de tous ce qu'est la volonté populaire des militants de la France."
Ce rassemblement est désapprouvé pour une large part par les "ténors" des Républicains.
A 51 jours du premier tour de la présidentielle, l'incertitude était vendredi à son comble sur la suite de la campagne à droite : François Fillon est sous pression pour renoncer à sa candidature alors que les appels se multiplient en direction d'Alain Juppé.
"C'est bien plus que ma personne qui est maintenant en jeu. La France est plus grande que moi", déclare le candidat de la droite et du centre à l'élection présidentielle dans une vidéo postée sur son compte Twitter.
"Je vous le dis avec gravité : ne vous laissez pas faire, ne laissez personne vous priver de votre choix. Je vous demande de résister et plus encore : je vous invite à aller de l'avant avec la résolution des hommes et des femmes libres", ajoute-t-il.
François Fillon invite ses partisans à se rassembler "avec la force calme et la force assurée de ceux qui respectent les institutions démocratiques" afin de "montrer aux yeux de tous ce qu'est la volonté populaire des militants de la France."
Ce rassemblement est désapprouvé pour une large part par les "ténors" des Républicains.
A 51 jours du premier tour de la présidentielle, l'incertitude était vendredi à son comble sur la suite de la campagne à droite : François Fillon est sous pression pour renoncer à sa candidature alors que les appels se multiplient en direction d'Alain Juppé.