Marseille - Un incendie d'origine indéterminée dans un centre de stockage de bouteilles de gaz dans le sud de la France a provoqué dans la nuit l'explosion de quarante tonnes de gaz, sans faire de victime, ont indiqué samedi les autorités.
Plus de 3.000 bouteilles ont explosé en série peu après 21H00 GMT vendredi et pendant plus d'une heure à Jonquières, à une trentaine de km au nord d'Avignon, selon la gendarmerie. Le site n'était pas classé comme une zone à risque, a-t-on précisé de même source.
La situation a été stabilisée vers 02H00 GMT, selon un responsable local, Jean-François Moniotte. "Les pompiers et les gendarmes ne pouvaient pas entrer car il restait des brûlots, du gaz s'échappait des bonbonnes éventrées sous forme de torchères. Il y avait de plus un stockage de copeaux de bois qui a pris feu".
Les spécialistes ont dû attendre que le site refroidisse et que le jour se lève pour entamer la recherche de la cause de l'incendie. Sur place, le site et les alentours étaient jonchés de morceaux de bouteilles de gaz, dont certaines gonflées par la chaleur mais qui n'ont pas explosé.
Vendredi soir, une cinquantaine de pompiers s'étaient rendus sur place pour sécuriser la zone, très peu urbanisée. Une ligne de trains passant à proximité et une route ont néanmoins été coupées.
Dans un contexte de menace jihadiste en France, les explosions ont provoqué une vague de panique et d'interrogations sur les réseaux sociaux, et les pompiers ont reçu "un nombre inimaginable d'appels".
Plus de 3.000 bouteilles ont explosé en série peu après 21H00 GMT vendredi et pendant plus d'une heure à Jonquières, à une trentaine de km au nord d'Avignon, selon la gendarmerie. Le site n'était pas classé comme une zone à risque, a-t-on précisé de même source.
La situation a été stabilisée vers 02H00 GMT, selon un responsable local, Jean-François Moniotte. "Les pompiers et les gendarmes ne pouvaient pas entrer car il restait des brûlots, du gaz s'échappait des bonbonnes éventrées sous forme de torchères. Il y avait de plus un stockage de copeaux de bois qui a pris feu".
Les spécialistes ont dû attendre que le site refroidisse et que le jour se lève pour entamer la recherche de la cause de l'incendie. Sur place, le site et les alentours étaient jonchés de morceaux de bouteilles de gaz, dont certaines gonflées par la chaleur mais qui n'ont pas explosé.
Vendredi soir, une cinquantaine de pompiers s'étaient rendus sur place pour sécuriser la zone, très peu urbanisée. Une ligne de trains passant à proximité et une route ont néanmoins été coupées.
Dans un contexte de menace jihadiste en France, les explosions ont provoqué une vague de panique et d'interrogations sur les réseaux sociaux, et les pompiers ont reçu "un nombre inimaginable d'appels".