L'épouse de Donald Trump bloquée par les manifestants, la grande proximité des présidents américain et français, et Angela Merkel levant les yeux au ciel en parlant à Poutine: le G20 a donné lieu à plusieurs à-côtés forts et photogéniques.
Le programme contrarié de la First Lady
Retranchée dans sa résidence pour cause d'échauffourées anti-G20 dans les rues de Hambourg, Melania Trump a manqué vendredi une sortie organisée pour les épouses et époux des chefs d'Etat et de gouvernement.
Après plusieurs contretemps, elle a rejoint le sommet où la rencontre tant attendue entre son époux Donald Trump et Vladimir Poutine durait déjà depuis une heure, bien au-delà des 30 minutes prévues.
Elle est alors entrée dans la pièce pour tenter d'y mettre un terme et inviter son mari à poursuivre le fil de son programme. Mais le vigoureux tête-à-tête a continué une heure de plus. De ce point de vue, "elle a échoué", a plaisanté ensuite le chef de la diplomatie américaine Rex Tillerson.
Absences remarquées de Trump
Le président américain a brillé par son absence aux discussions sur le climat, auxquelles il n'a assisté que quelques minutes vendredi avant d'aller rejoindre son homologue russe.
"Il n'est resté que 15 à 20 minutes sur une session qui a duré une heure. Il n'était déjà pas beaucoup là dans la session précédente. Il avait sans doute autre chose à faire", a résumé un participant.
Samedi matin, Donald Trump s'est aussi éclipsé lors de la séance de travail sur l'Afrique et les migrations. "Ivanka accompagne le président Trump", a d'abord tweeté Svetlana Loukach, sherpa de Vladimir Poutine. "Et le remplace à la table du G20 quand il part pour des rencontres bilatérales", a-t-elle ajouté 20 minutes plus tard.
L'attention de Macron pour Trump
Posant à côté de lui sur la photo de famille, multipliant les apartés entre deux séances de travail, le président français Emmanuel Macron a affiché sa complicité avec Donald Trump.
Devant des caméras gourmandes, il lui a tapé amicalement sur le bras, lui a glissé quelques mots à l'oreille tout en lui donnant l'accolade au point de sembler lui faire la bise.
Emmanuel Macron, qui ambitionne de rabibocher les Européens avec le président américain, a certainement pris une longueur d'avance dans cette entreprise sur la chancelière Angela Merkel, notoirement plus impatiente à l'encontre de Donald Trump.
Erreur sur le destinataire
Arrivé parmi les derniers à la Philharmonie de l'Elbe pour une soirée musicale, Donald Trump est descendu de sa limousine dans un concert d'applaudissements.
Les prenant pour lui, il a arboré un large sourire. Ils étaient en fait destinés à Emmanuel Macron et son épouse Brigitte, arrivés juste derrière lui, selon la presse allemande. Le président français, qui veut incarner l'esprit de réformes tant vanté par Berlin, est très populaire en Allemagne.
La démonstration de Merkel et Poutine
Un échange animé entre la chancelière et le maître du Kremlin a fait beaucoup jaser sur les réseaux sociaux.
Tendant le bras, Angela Merkel esquisse une courbe abrupte. Vladimir Poutine lève alors un doigt et semble tracer une autre version de la courbe. La chancelière lève alors les yeux au ciel.
Les deux dirigeants discouraient-ils sur les dernières poussées de fièvre en Ukraine ? Sur les courbes de croissance de leurs économies respectives ?
Ils retraçaient peut-être en fait la trajectoire du dernier tir de missile de la Corée du Nord, qui aurait pu atteindre les Etats-Unis selon les Occidentaux.
Le programme contrarié de la First Lady
Retranchée dans sa résidence pour cause d'échauffourées anti-G20 dans les rues de Hambourg, Melania Trump a manqué vendredi une sortie organisée pour les épouses et époux des chefs d'Etat et de gouvernement.
Après plusieurs contretemps, elle a rejoint le sommet où la rencontre tant attendue entre son époux Donald Trump et Vladimir Poutine durait déjà depuis une heure, bien au-delà des 30 minutes prévues.
Elle est alors entrée dans la pièce pour tenter d'y mettre un terme et inviter son mari à poursuivre le fil de son programme. Mais le vigoureux tête-à-tête a continué une heure de plus. De ce point de vue, "elle a échoué", a plaisanté ensuite le chef de la diplomatie américaine Rex Tillerson.
Absences remarquées de Trump
Le président américain a brillé par son absence aux discussions sur le climat, auxquelles il n'a assisté que quelques minutes vendredi avant d'aller rejoindre son homologue russe.
"Il n'est resté que 15 à 20 minutes sur une session qui a duré une heure. Il n'était déjà pas beaucoup là dans la session précédente. Il avait sans doute autre chose à faire", a résumé un participant.
Samedi matin, Donald Trump s'est aussi éclipsé lors de la séance de travail sur l'Afrique et les migrations. "Ivanka accompagne le président Trump", a d'abord tweeté Svetlana Loukach, sherpa de Vladimir Poutine. "Et le remplace à la table du G20 quand il part pour des rencontres bilatérales", a-t-elle ajouté 20 minutes plus tard.
L'attention de Macron pour Trump
Posant à côté de lui sur la photo de famille, multipliant les apartés entre deux séances de travail, le président français Emmanuel Macron a affiché sa complicité avec Donald Trump.
Devant des caméras gourmandes, il lui a tapé amicalement sur le bras, lui a glissé quelques mots à l'oreille tout en lui donnant l'accolade au point de sembler lui faire la bise.
Emmanuel Macron, qui ambitionne de rabibocher les Européens avec le président américain, a certainement pris une longueur d'avance dans cette entreprise sur la chancelière Angela Merkel, notoirement plus impatiente à l'encontre de Donald Trump.
Erreur sur le destinataire
Arrivé parmi les derniers à la Philharmonie de l'Elbe pour une soirée musicale, Donald Trump est descendu de sa limousine dans un concert d'applaudissements.
Les prenant pour lui, il a arboré un large sourire. Ils étaient en fait destinés à Emmanuel Macron et son épouse Brigitte, arrivés juste derrière lui, selon la presse allemande. Le président français, qui veut incarner l'esprit de réformes tant vanté par Berlin, est très populaire en Allemagne.
La démonstration de Merkel et Poutine
Un échange animé entre la chancelière et le maître du Kremlin a fait beaucoup jaser sur les réseaux sociaux.
Tendant le bras, Angela Merkel esquisse une courbe abrupte. Vladimir Poutine lève alors un doigt et semble tracer une autre version de la courbe. La chancelière lève alors les yeux au ciel.
Les deux dirigeants discouraient-ils sur les dernières poussées de fièvre en Ukraine ? Sur les courbes de croissance de leurs économies respectives ?
Ils retraçaient peut-être en fait la trajectoire du dernier tir de missile de la Corée du Nord, qui aurait pu atteindre les Etats-Unis selon les Occidentaux.