Le président bissau-guinéen est sous pression. Comme nous l’indiquions dans un précédent article, les chefs d’Etat de la Cedeao en réunion extraordinaire à Niamey ce vendredi ont exigé de José Mario Vaz de rétablir l’ordre institutionnel antérieur par l’annulation du décret de destitution du premier ministre Aristide Gomes. En l'absence du chef de l'Etat bissau-guinéen, la Cedeao a menacé de sanctions le pouvoir.
Cette fermeté a eu immédiatement une conséquence politique: c'est la démission du premier ministre nommé par Vaz. En effet, Faustino Imbali qui avait pris le relais de Aristide Gomes comme chef de gouvernement a préféré jeter l'éponge.
Cette fermeté a eu immédiatement une conséquence politique: c'est la démission du premier ministre nommé par Vaz. En effet, Faustino Imbali qui avait pris le relais de Aristide Gomes comme chef de gouvernement a préféré jeter l'éponge.