En Italie ce samedi, plusieurs dizaines de milliers personnes ont répondu à l'appel d'une trentaine d'organisations pour protester contre le racisme et tout type de discrimination.
Une manifestation ouvertement anti-gouvernementale.
Dans l'après-midi, Giuseppe Sala, le maire de centre gauche de Milan a invité le ministre de l'Intérieur Matteo Salvini à écouter l'opposition. Le ministre d'extrême droite est critiqué depuis plusieurs mois en raison notamment de sa politique anti-migrants.
"Nous manifestons, explique une femme, pour dire que l'accueil des migrants est quelque chose de magnifique et que la diversité est une richesse."
"Les personnes doivent primer avant les profits, dit un autre manifestant. Les droits de chacun doivent toujours être respectés."
Les différents cortèges ont convergé pacifiquement vers la cathédrale de Milan dans une ambiance de fête. Syndicalistes, associatifs, politiques avaient fait le déplacement ainsi que de nombreuses familles.
Face à l'augmentation des actes de violences et de racisme en Italie, la haut commissaire aux droits de l'Homme de l'ONU a annoncé il y a plusieurs semaines l'envoi de personnels dans le pays pour évaluer la situation.
Les déclarations de Michelle Bachelet avaient alors provoqué la colère de Matteo Salvini, le ministre de l'Intérieur. (euronews)
Une manifestation ouvertement anti-gouvernementale.
Dans l'après-midi, Giuseppe Sala, le maire de centre gauche de Milan a invité le ministre de l'Intérieur Matteo Salvini à écouter l'opposition. Le ministre d'extrême droite est critiqué depuis plusieurs mois en raison notamment de sa politique anti-migrants.
"Nous manifestons, explique une femme, pour dire que l'accueil des migrants est quelque chose de magnifique et que la diversité est une richesse."
"Les personnes doivent primer avant les profits, dit un autre manifestant. Les droits de chacun doivent toujours être respectés."
Les différents cortèges ont convergé pacifiquement vers la cathédrale de Milan dans une ambiance de fête. Syndicalistes, associatifs, politiques avaient fait le déplacement ainsi que de nombreuses familles.
Face à l'augmentation des actes de violences et de racisme en Italie, la haut commissaire aux droits de l'Homme de l'ONU a annoncé il y a plusieurs semaines l'envoi de personnels dans le pays pour évaluer la situation.
Les déclarations de Michelle Bachelet avaient alors provoqué la colère de Matteo Salvini, le ministre de l'Intérieur. (euronews)