Pas moins de 728 soldats israéliens ont été tués depuis le début de la guerre dans la bande de Gaza, a rapporté la Société de radiodiffusion israélienne, lundi, tandis que l'armée israélienne a reconnu la mort de 726 soldats, dont 346 lors de combats terrestres qui avaient été lancés le 27 octobre 2023.
La Société de radiodiffusion israélienne a rapporté que "le nombre de soldats tués depuis le début de la guerre a atteint 728".
Quant à l’armée israélienne, elle reconnaît que "726 soldats ont été tués, dont 346 dans les combats terrestres qui ont débuté le 27 octobre de l’année dernière", selon les données publiées à l'occasion du premier anniversaire du déclenchement de la guerre.
L'armée israélienne a ajouté que "4 576 soldats ont été blessés depuis le début de la guerre, dont 2 299 lors de combats terrestres dans la bande de Gaza", précisant que "29 militaires dans un état grave sont toujours soignés dans les hôpitaux, 151 autres dans un état modéré et 16 blessés légers".
Environ 300 000 soldats réservistes ont été engagés depuis le début de la guerre, selon la même source.
Dans le même contexte, l'armée israélienne a souligné que "le montant des subventions versées aux réservistes s'élève à 7,6 milliards de shekels (plus de 2 milliards de dollars)".
Avec un soutien absolu des États-Unis, Israël commet depuis le 7 octobre 2023 un génocide dans la bande de Gaza, faisant plus de 139 000 victimes entre morts et blessés Palestiniens, pour la plupart des enfants et des femmes, et plus de 10 000 disparus, dans un contexte de destruction massive et de famine qui a coûté la vie à des dizaines d'enfants, dans l'une des pires catastrophes humanitaires au monde.
Au mépris de la communauté internationale, Israël poursuit sa guerre génocidaire, ignorant la résolution du Conseil de sécurité de l'ONU visant à y mettre fin immédiatement, ainsi que les arrêts de la Cour internationale de Justice de prendre des mesures pour prévenir les actes de génocide et améliorer la situation humanitaire catastrophique à Gaza. [AA]