L'organisation internationale de la Francophonie (OIF) a fait savoir lundi qu'elle ne pouvait plus « soutenir le processus électoral » du 1er mars en l'absence d'un consensus national sur le nombre d'électeurs. La Francophonie aura attendu le dernier moment pour exprimer ses réserves vis-à-vis du processus électoral.
Les Guinéens sont en effet invités à voter à la fin de la semaine, dimanche 1er mars, lors d'un double scrutin : les législatives et le référendum constitutionnel. La secrétaire générale de la Francophonie Louise Mushikiwabo avait envoyé à Conakry une mission d'assistance du 10 novembre 2019 au 7 février afin de procéder à la révision des listes électorales, sur demande de la Commission électorale nationale indépendante (Ceni).
En l'absence de révisions du fichier, l'OIF refuse désormais de soutenir le processus électoral dans son ensemble. Ce lundi, l'organisation a fait savoir par voie de communiqué ses réserves vis-à-vis du fichier électoral, audité en 2018 par l'OIF, les Nations unies et l'Union européenne.
Les Guinéens sont en effet invités à voter à la fin de la semaine, dimanche 1er mars, lors d'un double scrutin : les législatives et le référendum constitutionnel. La secrétaire générale de la Francophonie Louise Mushikiwabo avait envoyé à Conakry une mission d'assistance du 10 novembre 2019 au 7 février afin de procéder à la révision des listes électorales, sur demande de la Commission électorale nationale indépendante (Ceni).
En l'absence de révisions du fichier, l'OIF refuse désormais de soutenir le processus électoral dans son ensemble. Ce lundi, l'organisation a fait savoir par voie de communiqué ses réserves vis-à-vis du fichier électoral, audité en 2018 par l'OIF, les Nations unies et l'Union européenne.