Une roquette a visé dimanche en Irak une base aérienne de l’ouest désertique abritant des soldats américains, a indiqué à l’AFP une source de sécurité, un type d’attaque attribué par Washington aux alliés en Irak de son grand ennemi iranien.
Une roquette a visé dimanche en Irak une base aérienne de l’ouest désertique abritant des soldats américains, a indiqué à l’AFP une source de sécurité, un type d’attaque attribué par Washington aux alliés en Irak de son grand ennemi iranien.
« Une roquette a visé la base aérienne d’Aïn al-Assad », a indiqué cette source deux jours après l’élection en Iran de l’ultraconservateur Ebrahim Raïssi saluée par les groupes pro-Iran les plus radicaux du pays qui mènent campagne pour expulser les 2.500 soldats américains déployés en Irak dans le cadre de la coalition antijihadistes.
Ils ont salué ce résultat électoral comme « l’échec des pions des Américains » alors qu’au total, 43 attaques ont visé des intérêts américains depuis le début de l’année en Irak, que ce soit l’ambassade à Bagdad, des bases abritant des soldats ou des sous-traitants américains ou encore des convois de soutien logistique à la coalition.
Ces attaques, longtemps menées avec des roquettes et des bombes en bord de route, ont récemment connu une escalade: quatre fois depuis la mi-avril des drones piégés ont été lancés contre des intérêts américains, sur le modèle des attaques menées par les rebelles yéménites houthis, pro-Iran, contre l’Arabie saoudite.
Pour les experts, le recours à cette technique est le signe d’une escalade en Irak où les Américains sont actuellement en train de redéployer leurs batteries de défense aériennes Patriot, mais maintiennent des système C-RAM qui ont déjà intercepté de nombreuses roquettes.
Preuve que Washington s’inquiète visiblement de ce nouveau développement, il a annoncé il y a dix jours offrir jusqu’à trois millions de dollars pour des informations sur les attaques visant leurs intérêts en Irak.
Une roquette a visé dimanche en Irak une base aérienne de l’ouest désertique abritant des soldats américains, a indiqué à l’AFP une source de sécurité, un type d’attaque attribué par Washington aux alliés en Irak de son grand ennemi iranien.
« Une roquette a visé la base aérienne d’Aïn al-Assad », a indiqué cette source deux jours après l’élection en Iran de l’ultraconservateur Ebrahim Raïssi saluée par les groupes pro-Iran les plus radicaux du pays qui mènent campagne pour expulser les 2.500 soldats américains déployés en Irak dans le cadre de la coalition antijihadistes.
Ils ont salué ce résultat électoral comme « l’échec des pions des Américains » alors qu’au total, 43 attaques ont visé des intérêts américains depuis le début de l’année en Irak, que ce soit l’ambassade à Bagdad, des bases abritant des soldats ou des sous-traitants américains ou encore des convois de soutien logistique à la coalition.
Ces attaques, longtemps menées avec des roquettes et des bombes en bord de route, ont récemment connu une escalade: quatre fois depuis la mi-avril des drones piégés ont été lancés contre des intérêts américains, sur le modèle des attaques menées par les rebelles yéménites houthis, pro-Iran, contre l’Arabie saoudite.
Pour les experts, le recours à cette technique est le signe d’une escalade en Irak où les Américains sont actuellement en train de redéployer leurs batteries de défense aériennes Patriot, mais maintiennent des système C-RAM qui ont déjà intercepté de nombreuses roquettes.
Preuve que Washington s’inquiète visiblement de ce nouveau développement, il a annoncé il y a dix jours offrir jusqu’à trois millions de dollars pour des informations sur les attaques visant leurs intérêts en Irak.