PARIS (Reuters) - L'entourage d'Emmanuel Macron a minimisé mercredi les risques de tension entre Nicolas Hulot, nommé ministre de la Transition écologique et solidaire en charge de l'Energie, et Edouard Philippe, dont l'arrivée à Matignon a suscité l'inquiétude de certaines associations de défense de l'environnement.
"J'imagine que Nicolas Hulot ne s'est pas engagé dans cette aventure sans connaître ce que sont les positions d'Emmanuel Macron et d'Edouard Philippe", a-t-on indiqué à l'Elysée.
L'ancien animateur d'Ushuaïa a-t-il posé des conditions?
"Je ne crois pas qu'on puisse parler de conditions", ajoute la source. "Il y a eu évidemment des échanges (...) ce qui est légitime quand on confie une tâche qui est aussi lourde que celle-là, c'est évident qu'il y ait des discussions sur le périmètre, etc."
"Mais si Nicolas Hulot est là, c'est parce qu'il fait pleinement partie de l'équipe gouvernementale et qu'il en partage les orientations", souligne-t-on. "Le périmètre de son ministère avec l'énergie révèle la confiance que le chef de l'Etat et le chef du gouvernement lui confèrent et l'importance qu'il a en étant ministre d'Etat".
La nomination de Nicolas Hulot a entraîné une chute du titre EDF en Bourse de Paris mercredi, les investisseurs craignant l'impact de sa politique pour l'exploitant du parc nucléaire français.
L'ajout du terme "solidaire" au titre de l'ancien animateur de télévision était une demande de sa part, "ça lui permet d'accompagner les ONG", précise-t-on de même source.
La nomination à Matignon d'Edouard Philippe, qui a occupé les fonctions de directeur des affaires publiques d'Areva entre 2007 et 2010, a suscité l'inquiétude de plusieurs associations, notamment du Réseau Sortir du nucléaire qui y a vu un "signal exécrable".
Lors de sa passation de pouvoirs avec la ministre de l'Ecologie sortante Ségolène Royal, Nicolas Hulot a indiqué avoir conscience des possibles difficultés qu'il pourrait rencontrer.
"J’ai été du côté de ceux qui exigeaient, un rôle probablement dont je vais très rapidement découvrir qu’il est plus facile que d’être du côté de ceux qui réalisent", a-t-il dit devant la presse.
"Oui, l’enjeu écologique est une contrainte mais c’est aussi une opportunité. Il y a un nouveau modèle qui est en train d’être en gestation", en particulier dans les petites et moyennes entreprises, les associations et les collectivités locales.
"J'imagine que Nicolas Hulot ne s'est pas engagé dans cette aventure sans connaître ce que sont les positions d'Emmanuel Macron et d'Edouard Philippe", a-t-on indiqué à l'Elysée.
L'ancien animateur d'Ushuaïa a-t-il posé des conditions?
"Je ne crois pas qu'on puisse parler de conditions", ajoute la source. "Il y a eu évidemment des échanges (...) ce qui est légitime quand on confie une tâche qui est aussi lourde que celle-là, c'est évident qu'il y ait des discussions sur le périmètre, etc."
"Mais si Nicolas Hulot est là, c'est parce qu'il fait pleinement partie de l'équipe gouvernementale et qu'il en partage les orientations", souligne-t-on. "Le périmètre de son ministère avec l'énergie révèle la confiance que le chef de l'Etat et le chef du gouvernement lui confèrent et l'importance qu'il a en étant ministre d'Etat".
La nomination de Nicolas Hulot a entraîné une chute du titre EDF en Bourse de Paris mercredi, les investisseurs craignant l'impact de sa politique pour l'exploitant du parc nucléaire français.
L'ajout du terme "solidaire" au titre de l'ancien animateur de télévision était une demande de sa part, "ça lui permet d'accompagner les ONG", précise-t-on de même source.
La nomination à Matignon d'Edouard Philippe, qui a occupé les fonctions de directeur des affaires publiques d'Areva entre 2007 et 2010, a suscité l'inquiétude de plusieurs associations, notamment du Réseau Sortir du nucléaire qui y a vu un "signal exécrable".
Lors de sa passation de pouvoirs avec la ministre de l'Ecologie sortante Ségolène Royal, Nicolas Hulot a indiqué avoir conscience des possibles difficultés qu'il pourrait rencontrer.
"J’ai été du côté de ceux qui exigeaient, un rôle probablement dont je vais très rapidement découvrir qu’il est plus facile que d’être du côté de ceux qui réalisent", a-t-il dit devant la presse.
"Oui, l’enjeu écologique est une contrainte mais c’est aussi une opportunité. Il y a un nouveau modèle qui est en train d’être en gestation", en particulier dans les petites et moyennes entreprises, les associations et les collectivités locales.