PARIS (Reuters) - Les Bourses européennes ont terminé en hausse mercredi, portées par les valeurs technologiques et par les pétrolières avec la hausse du baril alors que la baisse de l‘euro donne de l‘air aux actions.
À Paris, le CAC 40 a terminé en hausse de 0,81% à 5.331,28 points. Le Footsie britannique a gagné 0,30% et le Dax allemand 0,83%.
L‘indice EuroStoxx 50 a avancé de 0,56%, le FTSEurofirst 300 de 0,55% et le Stoxx 600 de 0,48%.
A l‘heure de la clôture en Europe, Wall Street évolue en hausse, avec à la clé de nouveaux records pour le Dow Jones, le S&P-500 et le Nasdaq Composite.
Sur le Nasdaq, des valeurs technologiques comme Nvidia (+5,10%) ou AMD (+7,33%) profitent d‘un faux-pas d‘Intel (-4,00%), dont une faille de conception affecterait ses microprocesseurs, selon le site spécialisé The Register.
En Europe, les technologiques (+1,69%) ont également brillé et signé la meilleure performance sectorielle, affichant dès le matin une forte hausse dans le sillage du record de clôture du Nasdaq mardi à plus de 7.000 points et grâce à la bonne tenue des marchés asiatiques.
Le secteur européen de l’énergie a gagné pour sa part 1,12% avec la forte progression des cours du pétrole.
Aux techs, AMS a avancé de 6,58%. A Paris, STMicroelectronics a clôturé la séance sur un gain de 3,06%, plus forte hausse du CAC.
Altice, en tête de l‘EuroFirst 300, a pris 7,66% après l‘annonce d‘un nouvel accord de distribution avec M6.
Next a gagné 6,7%, l‘enseigne de prêt-à-porter britannique ayant revu en hausse sa prévision de bénéfice annuel. Le secteur européen de la distribution en a profité, s‘octroyant 0,67%.
LE PÉTROLE AU PLUS HAUT DEPUIS DEUX ANS ET DEMI
Sur le marché des changes, l‘euro cède 0,23% après cinq séances de hausses consécutives, à 1,2028 dollar. La monnaie unique européenne évolue toujours à un niveau proche de son pic de quatre mois atteint la veille.
Le dollar prend de son côté 0,21% face à un panier de six autres devises de référence après avoir brièvement amplifié ses gains en réaction aux chiffres meilleurs que prévu de l‘ISM manufacturier et des dépenses de construction aux Etats-Unis.
Les investisseurs seront attentifs à la publication du compte-rendu de la réunion de décembre de la Réserve fédérale à 19h00 GMT, lorsque la Fed a relevé ses taux pour la troisième fois de l‘année.
L‘unique statistique macroéconomique en Europe a fait état d‘un taux de chômage au plus bas depuis la réunification en Allemagne et le nombre de chômeurs a diminué plus que prévu en décembre, laissant présager à nouveau une forte croissance cette année.
Sur le front du pétrole, les cours du brut évoluent à un plus haut de deux ans et demi avec les tensions en Iran, troisième producteur de l‘Opep, et les bonnes statistiques en Allemagne et aux Etats-Unis.
“Alors que les tensions iraniennes sont certainement un facteur de hausse, les données économiques remarquablement fortes aujourd‘hui y contribuent également”, commente John Kilduff, partenaire chez Again Capital LLC.
“Le taux de chômage au plus bas en Allemagne et l‘ISM manufacturier élevé plaident en faveur d‘une hausse de la demande en énergie, qui devrait continuer de fortement augmenter”, poursuit-il.
Le brut léger américain gagne 1,9% au-dessus des 61 dollars le baril et le Brent prend 1,7%.
À Paris, le CAC 40 a terminé en hausse de 0,81% à 5.331,28 points. Le Footsie britannique a gagné 0,30% et le Dax allemand 0,83%.
L‘indice EuroStoxx 50 a avancé de 0,56%, le FTSEurofirst 300 de 0,55% et le Stoxx 600 de 0,48%.
A l‘heure de la clôture en Europe, Wall Street évolue en hausse, avec à la clé de nouveaux records pour le Dow Jones, le S&P-500 et le Nasdaq Composite.
Sur le Nasdaq, des valeurs technologiques comme Nvidia (+5,10%) ou AMD (+7,33%) profitent d‘un faux-pas d‘Intel (-4,00%), dont une faille de conception affecterait ses microprocesseurs, selon le site spécialisé The Register.
En Europe, les technologiques (+1,69%) ont également brillé et signé la meilleure performance sectorielle, affichant dès le matin une forte hausse dans le sillage du record de clôture du Nasdaq mardi à plus de 7.000 points et grâce à la bonne tenue des marchés asiatiques.
Le secteur européen de l’énergie a gagné pour sa part 1,12% avec la forte progression des cours du pétrole.
Aux techs, AMS a avancé de 6,58%. A Paris, STMicroelectronics a clôturé la séance sur un gain de 3,06%, plus forte hausse du CAC.
Altice, en tête de l‘EuroFirst 300, a pris 7,66% après l‘annonce d‘un nouvel accord de distribution avec M6.
Next a gagné 6,7%, l‘enseigne de prêt-à-porter britannique ayant revu en hausse sa prévision de bénéfice annuel. Le secteur européen de la distribution en a profité, s‘octroyant 0,67%.
LE PÉTROLE AU PLUS HAUT DEPUIS DEUX ANS ET DEMI
Sur le marché des changes, l‘euro cède 0,23% après cinq séances de hausses consécutives, à 1,2028 dollar. La monnaie unique européenne évolue toujours à un niveau proche de son pic de quatre mois atteint la veille.
Le dollar prend de son côté 0,21% face à un panier de six autres devises de référence après avoir brièvement amplifié ses gains en réaction aux chiffres meilleurs que prévu de l‘ISM manufacturier et des dépenses de construction aux Etats-Unis.
Les investisseurs seront attentifs à la publication du compte-rendu de la réunion de décembre de la Réserve fédérale à 19h00 GMT, lorsque la Fed a relevé ses taux pour la troisième fois de l‘année.
L‘unique statistique macroéconomique en Europe a fait état d‘un taux de chômage au plus bas depuis la réunification en Allemagne et le nombre de chômeurs a diminué plus que prévu en décembre, laissant présager à nouveau une forte croissance cette année.
Sur le front du pétrole, les cours du brut évoluent à un plus haut de deux ans et demi avec les tensions en Iran, troisième producteur de l‘Opep, et les bonnes statistiques en Allemagne et aux Etats-Unis.
“Alors que les tensions iraniennes sont certainement un facteur de hausse, les données économiques remarquablement fortes aujourd‘hui y contribuent également”, commente John Kilduff, partenaire chez Again Capital LLC.
“Le taux de chômage au plus bas en Allemagne et l‘ISM manufacturier élevé plaident en faveur d‘une hausse de la demande en énergie, qui devrait continuer de fortement augmenter”, poursuit-il.
Le brut léger américain gagne 1,9% au-dessus des 61 dollars le baril et le Brent prend 1,7%.