New York (awp/afp) - L'euro baissait mardi face à un dollar reprenant quelques couleurs après la parution de chiffres encourageants sur le marché du travail américain.
Vers 21H00 GMT (23H00 HEC), l'euro valait 1,1754 dollar contre 1,1794 dollar lundi vers 21H00 GMT.
La monnaie européenne baissait face à la devise nippone, à 129,70 yens pour un euro contre 130,62 yens la veille.
Le billet vert reculait face à la devise japonaise, à 110,35 yens pour un dollar contre 110,74 lundi soir.
Le dollar s'affichait en légère baisse quand il a relevé la tête aux alentours de 16H00 GMT.
"Il s'est redressé après (...) la publication du rapport JOLTS" sur les emplois vacants aux Etats-Unis, a avancé Eric Viloria de Wells Fargo.
Pour Alexandre Baradez, analyste chez IG, c'est bien ce rapport qui a fait "bouger" la paire euro-dollar.
Selon le rapport mensuel du département du Travail sur les offres d'emplois et la rotation des salariés en mai (JOLTS), le nombre des emplois non pourvus en juin a "de loin dépassé les attentes", a relevé Connor Campbell, analyste chez Spreadex.
Toutefois, pour Greg Anderson de BMO, ce renversement de tendance sur le marché des changes a plus été provoqué par des mouvements techniques.
"Le rapport JOLTS est tombé presque en même temps mais ce n'est pas la raison initiale", a-t-il expliqué.
"Le couple euro-yen a commencé à bouger deux minutes avant" la parution du rapport JOLTS, a-t-il continué, reconnaissant toutefois que cela avait ensuite pu renforcer un mouvement déjà enclenché.
Tous s'accordaient à reconnaître, à l'image d'Alexandre Baradez, qu'il était "plutôt rare" que ces chiffres mensuels fassent réagir brusquement le marché des changes.
Plus généralement et "comme cela semble avoir été le cas au cours des derniers jours, l'euro se corrige" après avoir grimpé de près de 12% depuis le début de l'année face au dollar, a estimé Greg Anderson.
Avant son accès de faiblesse en début d'échanges américains mardi, l'euro avait bien résisté à la publication de chiffres décevants des importations et exportations de l'Allemagne, la première économie de la zone euro, en juin, a noté David Madden, analyste chez CMC Markets.
Vers 21H00 GMT, la monnaie britannique se stabilisait face à l'euro, à 90,46 pence, après avoir atteint vers 14H00 GMT 90,87 pence, son niveau le plus faible depuis la mi-octobre 2016. La livre sterling baissait face au dollar, à 1,2994 dollar pour une livre.
La monnaie suisse s'appréciait face à l'euro, à 1,1450 franc pour un euro, mais repartait à la baisse face au dollar, à 0,9741 franc pour un dollar.
La devise chinoise a terminé en nette hausse face au billet vert, à 6,7061 pour un dollar à 15H30 GMT - son plus haut niveau en fin d'échanges depuis fin septembre 2016 - contre 6,7215 yuans lundi à la même heure.
L'once d'or a fini à 1.261,80 dollars au fixing du soir, contre 1.258 dollars lundi.
Vers 21H00 GMT (23H00 HEC), l'euro valait 1,1754 dollar contre 1,1794 dollar lundi vers 21H00 GMT.
La monnaie européenne baissait face à la devise nippone, à 129,70 yens pour un euro contre 130,62 yens la veille.
Le billet vert reculait face à la devise japonaise, à 110,35 yens pour un dollar contre 110,74 lundi soir.
Le dollar s'affichait en légère baisse quand il a relevé la tête aux alentours de 16H00 GMT.
"Il s'est redressé après (...) la publication du rapport JOLTS" sur les emplois vacants aux Etats-Unis, a avancé Eric Viloria de Wells Fargo.
Pour Alexandre Baradez, analyste chez IG, c'est bien ce rapport qui a fait "bouger" la paire euro-dollar.
Selon le rapport mensuel du département du Travail sur les offres d'emplois et la rotation des salariés en mai (JOLTS), le nombre des emplois non pourvus en juin a "de loin dépassé les attentes", a relevé Connor Campbell, analyste chez Spreadex.
Toutefois, pour Greg Anderson de BMO, ce renversement de tendance sur le marché des changes a plus été provoqué par des mouvements techniques.
"Le rapport JOLTS est tombé presque en même temps mais ce n'est pas la raison initiale", a-t-il expliqué.
"Le couple euro-yen a commencé à bouger deux minutes avant" la parution du rapport JOLTS, a-t-il continué, reconnaissant toutefois que cela avait ensuite pu renforcer un mouvement déjà enclenché.
Tous s'accordaient à reconnaître, à l'image d'Alexandre Baradez, qu'il était "plutôt rare" que ces chiffres mensuels fassent réagir brusquement le marché des changes.
Plus généralement et "comme cela semble avoir été le cas au cours des derniers jours, l'euro se corrige" après avoir grimpé de près de 12% depuis le début de l'année face au dollar, a estimé Greg Anderson.
Avant son accès de faiblesse en début d'échanges américains mardi, l'euro avait bien résisté à la publication de chiffres décevants des importations et exportations de l'Allemagne, la première économie de la zone euro, en juin, a noté David Madden, analyste chez CMC Markets.
Vers 21H00 GMT, la monnaie britannique se stabilisait face à l'euro, à 90,46 pence, après avoir atteint vers 14H00 GMT 90,87 pence, son niveau le plus faible depuis la mi-octobre 2016. La livre sterling baissait face au dollar, à 1,2994 dollar pour une livre.
La monnaie suisse s'appréciait face à l'euro, à 1,1450 franc pour un euro, mais repartait à la baisse face au dollar, à 0,9741 franc pour un dollar.
La devise chinoise a terminé en nette hausse face au billet vert, à 6,7061 pour un dollar à 15H30 GMT - son plus haut niveau en fin d'échanges depuis fin septembre 2016 - contre 6,7215 yuans lundi à la même heure.
L'once d'or a fini à 1.261,80 dollars au fixing du soir, contre 1.258 dollars lundi.