New York (awp/afp) - L'euro montait vendredi face à un dollar affaibli par des indicateurs décevants, tandis que la livre britannique profitait de la probabilité accrue d'un resserrement monétaire au Royaume-Uni dans les mois à venir.
Vers 21H00 GMT (23H00 HEC), l'euro valait 1,1947 dollar, contre 1,1915 dollar jeudi vers 21H00 GMT.
Le devise européenne montait face à la monnaie nippone, à 132,45 yens pour un euro - grimpant même vers 11H45 GMT à 133,09 yens, son niveau le plus fort depuis décembre 2015 - contre 131,43 yens la veille.
Le billet vert aussi gagnait du terrain face à la devise japonaise, à 110,86 yens contre 110,31 yens jeudi soir.
La livre britannique, qui avait déjà profité jeudi de commentaires de la Banque d'Angleterre laissant entrevoir une possible hausse de ses taux, a reçu un nouveau coup de pouce vendredi avec les commentaires d'un des neuf membres du Comité monétaire de la BoE, Gertjan Vlieghe.
Pourtant jugé comme particulièrement réticent à un resserrement monétaire, il a estimé dans un discours que "le moment approprié pour une hausse de taux pourrait arriver dès les prochains mois".
Dans la foulée de ces propos, la monnaie britannique est montée vers 10H25 GMT à son plus haut niveau en deux mois face à l'euro (87,74 pence pour un euro), et depuis la décision des Britanniques de quitter l'Union européenne (UE) en juin 2016 face au billet vert (1,3616 dollar pour une livre).
Vers 21H00 GMT, la livre s'appréciait toujours face à la monnaie unique, à 87,89 pence pour un euro, comme face au dollar, à 1,3593 dollar pour une livre.
La monnaie américaine se trouvait pour sa part sous pression suite à la publication d'une baisse inattendue des ventes au détail aux États-Unis en août, d'une chute de la production industrielle ce même mois, et d'un repli du moral des ménages en septembre.
Les récents indicateurs américains peignent dans l'ensemble un tableau mitigé de la croissance de la première économie mondiale, ce qui rend plus ardue la tâche de la Réserve fédérale américaine (Fed) pour prendre ses décisions monétaires.
Les investisseurs s'interrogent sur la capacité du Comité de politique monétaire de l'institution (FOMC), qui doit se réunir la semaine prochaine, à relever comme prévu une nouvelle fois ses taux d'intérêt d'ici à la fin de l'année.
Toutefois, l'impact d'Harvey sur l'économie, en particulier sur les ventes au détail, pourrait se renverser "et être compensé dans les mois à venir", ce qui devrait limiter l'impact de ces données sans éclat sur le dollar, a remarqué Omer Esiner de Commonwealth Foreign Exchange.
Le dernier tir de missile effectué par la Corée du Nord n'a par ailleurs pas suscité de réactions durables.
"Le couple dollar/yen, habituellement une bonne jauge de l'appétit des investisseurs pour le risque, est monté à son plus haut niveau en deux mois, et la réaction de l'or et du franc suisse", traditionnellement considérés comme des valeurs refuges, "a aussi été limitée", a souligné M. Esiner.
Vers 21H00 GMT, la devise suisse montait un peu face à l'euro, à 1,1463 franc suisse pour un euro tout comme face au dollar, à 0,9595 franc suisse pour un dollar.
La devise chinoise a terminé en légère hausse face au billet vert, à 6,5526 yuans pour un dollar à 15H30 GMT, contre 6,5560 yuans jeudi à la même heure.
L'once d'or a fini à 1.322,85 dollars au fixing du soir, contre 1.324,55 dollars jeudi soir.
Vers 21H00 GMT (23H00 HEC), l'euro valait 1,1947 dollar, contre 1,1915 dollar jeudi vers 21H00 GMT.
Le devise européenne montait face à la monnaie nippone, à 132,45 yens pour un euro - grimpant même vers 11H45 GMT à 133,09 yens, son niveau le plus fort depuis décembre 2015 - contre 131,43 yens la veille.
Le billet vert aussi gagnait du terrain face à la devise japonaise, à 110,86 yens contre 110,31 yens jeudi soir.
La livre britannique, qui avait déjà profité jeudi de commentaires de la Banque d'Angleterre laissant entrevoir une possible hausse de ses taux, a reçu un nouveau coup de pouce vendredi avec les commentaires d'un des neuf membres du Comité monétaire de la BoE, Gertjan Vlieghe.
Pourtant jugé comme particulièrement réticent à un resserrement monétaire, il a estimé dans un discours que "le moment approprié pour une hausse de taux pourrait arriver dès les prochains mois".
Dans la foulée de ces propos, la monnaie britannique est montée vers 10H25 GMT à son plus haut niveau en deux mois face à l'euro (87,74 pence pour un euro), et depuis la décision des Britanniques de quitter l'Union européenne (UE) en juin 2016 face au billet vert (1,3616 dollar pour une livre).
Vers 21H00 GMT, la livre s'appréciait toujours face à la monnaie unique, à 87,89 pence pour un euro, comme face au dollar, à 1,3593 dollar pour une livre.
La monnaie américaine se trouvait pour sa part sous pression suite à la publication d'une baisse inattendue des ventes au détail aux États-Unis en août, d'une chute de la production industrielle ce même mois, et d'un repli du moral des ménages en septembre.
Les récents indicateurs américains peignent dans l'ensemble un tableau mitigé de la croissance de la première économie mondiale, ce qui rend plus ardue la tâche de la Réserve fédérale américaine (Fed) pour prendre ses décisions monétaires.
Les investisseurs s'interrogent sur la capacité du Comité de politique monétaire de l'institution (FOMC), qui doit se réunir la semaine prochaine, à relever comme prévu une nouvelle fois ses taux d'intérêt d'ici à la fin de l'année.
Toutefois, l'impact d'Harvey sur l'économie, en particulier sur les ventes au détail, pourrait se renverser "et être compensé dans les mois à venir", ce qui devrait limiter l'impact de ces données sans éclat sur le dollar, a remarqué Omer Esiner de Commonwealth Foreign Exchange.
Le dernier tir de missile effectué par la Corée du Nord n'a par ailleurs pas suscité de réactions durables.
"Le couple dollar/yen, habituellement une bonne jauge de l'appétit des investisseurs pour le risque, est monté à son plus haut niveau en deux mois, et la réaction de l'or et du franc suisse", traditionnellement considérés comme des valeurs refuges, "a aussi été limitée", a souligné M. Esiner.
Vers 21H00 GMT, la devise suisse montait un peu face à l'euro, à 1,1463 franc suisse pour un euro tout comme face au dollar, à 0,9595 franc suisse pour un dollar.
La devise chinoise a terminé en légère hausse face au billet vert, à 6,5526 yuans pour un dollar à 15H30 GMT, contre 6,5560 yuans jeudi à la même heure.
L'once d'or a fini à 1.322,85 dollars au fixing du soir, contre 1.324,55 dollars jeudi soir.
Le bitcoin valait 3.703,58 dollars contre 3.384,37 dollars jeudi vers 21H00 GMT, selon des données compilées par Bloomberg. (AFP)