Le Groupe de soutien à l’islam et aux musulmans (GSIM), alliance djihadiste affiliée à Al-Qaida, a revendiqué l’attaque qui a coûté la vie à deux soldats français, samedi 2 janvier, au Mali, dans un communiqué publié par sa plate-forme de propagande Al-Zallaqa. Le GSIM, qui dénonce notamment le passé colonial français, confirme avoir « fait exploser un engin explosif » au passage du véhicule de deux soldats de la force antidjihadiste « Barkhane », dont une femme, « portant le bilan total à 5 morts en moins d’une semaine », selon ce communiqué.
Le sergent Yvonne Huynh et le brigadier Loïc Risser, tous deux issus du 2e régiment de hussards de Haguenau, près de Strasbourg (est) ont été tués dans la région de Ménaka (nord-est). Cinq jours plus tôt, trois autres soldats français avaient été tués dans la zone frontalière avec le Niger et le Burkina Faso lors d’une mission d’escorte. (Le Monde avec AFP)
Le sergent Yvonne Huynh et le brigadier Loïc Risser, tous deux issus du 2e régiment de hussards de Haguenau, près de Strasbourg (est) ont été tués dans la région de Ménaka (nord-est). Cinq jours plus tôt, trois autres soldats français avaient été tués dans la zone frontalière avec le Niger et le Burkina Faso lors d’une mission d’escorte. (Le Monde avec AFP)