PARIS (Reuters) - Le comité directeur du Parti radical de gauche (PRG) a validé les termes d'un accord pour les élections législatives avec le Parti socialiste, a annoncé mercredi le parti présidé par Sylvia Pinel.
La candidate malheureuse à la primaire organisée par le PS en janvier "respectera l'engagement contracté au moment de sa candidature" au scrutin interne de la gauche, précise le PRG dans un communiqué.
"Le PRG réaffirme son positionnement au centre gauche et son attachement à une gauche de gouvernement. Il rappelle sa détermination à lutter contre la menace que représenterait l'élection du Front national", souligne-t-on.
Benoît Hamon, vainqueur de la primaire, a salué cet accord et le soutien du PRG à sa candidature dans la course à l'Elysée.
"Au-delà de ces questions programmatiques, cet accord réaffirme les liens profonds qui nous unissent à gauche avec le PRG et apportent une contribution extrêmement importante à ma démarche de rassemblement", écrit dans un communiqué le candidat socialiste, confronté à la tentation de nombreux responsables de gauche de soutenir la candidature concurrente d'Emmanuel Macron.
Le groupe radical, républicain, démocrate et progressiste (RRDP) de l'Assemblée nationale compte 18 députés, dont 12 radicaux de gauche.
L'accord avec le PS, comme il est de tradition, réserve ces douze circonscriptions au PRG même dans le cas où un député sortant ne se représente pas, comme cela est le cas cette année pour Gérard Charasse, dans l'Allier.
Quatre des douze députés radicaux de gauche ont d'ores et déjà apporté leur soutien à Emmanuel Macron : Alain Tourret, Paul Giacobbi, Jacques Krabal et Joël Giraud.
Deux des six élus divers gauche, Thierry Robert et Ary Chalus, ont fait de même.
La candidate malheureuse à la primaire organisée par le PS en janvier "respectera l'engagement contracté au moment de sa candidature" au scrutin interne de la gauche, précise le PRG dans un communiqué.
"Le PRG réaffirme son positionnement au centre gauche et son attachement à une gauche de gouvernement. Il rappelle sa détermination à lutter contre la menace que représenterait l'élection du Front national", souligne-t-on.
Benoît Hamon, vainqueur de la primaire, a salué cet accord et le soutien du PRG à sa candidature dans la course à l'Elysée.
"Au-delà de ces questions programmatiques, cet accord réaffirme les liens profonds qui nous unissent à gauche avec le PRG et apportent une contribution extrêmement importante à ma démarche de rassemblement", écrit dans un communiqué le candidat socialiste, confronté à la tentation de nombreux responsables de gauche de soutenir la candidature concurrente d'Emmanuel Macron.
Le groupe radical, républicain, démocrate et progressiste (RRDP) de l'Assemblée nationale compte 18 députés, dont 12 radicaux de gauche.
L'accord avec le PS, comme il est de tradition, réserve ces douze circonscriptions au PRG même dans le cas où un député sortant ne se représente pas, comme cela est le cas cette année pour Gérard Charasse, dans l'Allier.
Quatre des douze députés radicaux de gauche ont d'ores et déjà apporté leur soutien à Emmanuel Macron : Alain Tourret, Paul Giacobbi, Jacques Krabal et Joël Giraud.
Deux des six élus divers gauche, Thierry Robert et Ary Chalus, ont fait de même.