PARIS (Reuters) - Marine Le Pen a annoncé lundi soir qu'elle se mettait en congé de la présidence du Front national pour se consacrer à la campagne pour le second tour de l'élection présidentielle qu'elle estime être en mesure de remporter.
La candidate d'extrême droite a gagné dimanche sa place de finaliste de l'élection présidentielle en France, aux côtés d'Emmanuel Macron, donné gagnant par tous les sondages.
"Nous pouvons gagner, et je vais même vous dire mieux : nous allons gagner", a déclaré Marine Le Pen, invitée du journal de 20h00 sur France 2.
"Dix petits points, croyez-moi, c'est parfaitement faisable", a ajouté celle qui est généralement donnée à 40%, contre 60% pour Emmanuel Macron, dans les sondages d'intention de vote pour le 7 mai.
L'eurodéputée a dit vouloir se consacrer entièrement à sa campagne, en mettant entre parenthèses ses activités à la présidence du Front national.
"Il m'est apparu indispensable de me mettre en congé de la présidence du Front national. Ce soir je ne suis donc plus la présidente du Front national, je suis la candidate à la présidentielle", a-t-elle déclaré.
"Je me sentirai plus libre, mais surtout je serai au-dessus des considérations partisanes et je crois que c'est un acte important", a-t-elle ajouté.
Marine Le Pen a de nouveau critiqué Emmanuel Macron, ancien ministre aujourd'hui soutenu par des responsables de droite comme de gauche qui veulent "faire barrage" au FN, qui représente selon elle "le système".
"Les Français ne les voulaient plus, ils n'en voulaient plus aucun, eh bien ils les auront tous, tous ensemble !", a-t-elle dit. "S'ils n'en peuvent plus de ce système qui se succède à lui-même (...), il faut qu'ils fassent un autre choix".
Marine Le Pen a émis le souhait d'"engager une conversation" avec le candidat souverainiste Nicolas Dupont-Aignan, qui n'a pas encore donné de consigne de vote après avoir obtenu dimanche près de 5% des voix.
"Nicolas Dupont-Aignan a un projet qui est extrêmement proche du nôtre", a-t-elle dit. "Je souhaite un rassemblement le plus large des patriotes face aux représentants de la mondialisation décomplexée".
La candidate d'extrême droite a gagné dimanche sa place de finaliste de l'élection présidentielle en France, aux côtés d'Emmanuel Macron, donné gagnant par tous les sondages.
"Nous pouvons gagner, et je vais même vous dire mieux : nous allons gagner", a déclaré Marine Le Pen, invitée du journal de 20h00 sur France 2.
"Dix petits points, croyez-moi, c'est parfaitement faisable", a ajouté celle qui est généralement donnée à 40%, contre 60% pour Emmanuel Macron, dans les sondages d'intention de vote pour le 7 mai.
L'eurodéputée a dit vouloir se consacrer entièrement à sa campagne, en mettant entre parenthèses ses activités à la présidence du Front national.
"Il m'est apparu indispensable de me mettre en congé de la présidence du Front national. Ce soir je ne suis donc plus la présidente du Front national, je suis la candidate à la présidentielle", a-t-elle déclaré.
"Je me sentirai plus libre, mais surtout je serai au-dessus des considérations partisanes et je crois que c'est un acte important", a-t-elle ajouté.
Marine Le Pen a de nouveau critiqué Emmanuel Macron, ancien ministre aujourd'hui soutenu par des responsables de droite comme de gauche qui veulent "faire barrage" au FN, qui représente selon elle "le système".
"Les Français ne les voulaient plus, ils n'en voulaient plus aucun, eh bien ils les auront tous, tous ensemble !", a-t-elle dit. "S'ils n'en peuvent plus de ce système qui se succède à lui-même (...), il faut qu'ils fassent un autre choix".
Marine Le Pen a émis le souhait d'"engager une conversation" avec le candidat souverainiste Nicolas Dupont-Aignan, qui n'a pas encore donné de consigne de vote après avoir obtenu dimanche près de 5% des voix.
"Nicolas Dupont-Aignan a un projet qui est extrêmement proche du nôtre", a-t-elle dit. "Je souhaite un rassemblement le plus large des patriotes face aux représentants de la mondialisation décomplexée".