La fusillade de samedi et dimanche dans l’est du Canada, la pire dans l’histoire du pays, a fait 23 morts, selon un nouveau bilan annoncé mardi par la Gendarmerie royale du Canada (GRC, police fédérale).
« Nous pensons qu’il y a 23 victimes, dont une âgée de 17 ans », a expliqué la police, qui indique avoir retrouvé de nouveaux corps sur les lieux incendiés par le tueur. Ce dernier avait mis le feu à au moins cinq maisons et véhicules.
La police n’a pas précisé si ce bilan incluait le tueur, qui a succombé à ses blessures après avoir été atteint par balles par la police dans une station-service dimanche midi en Nouvelle-Ecosse. La GRC n’était pas immédiatement joignable en milieu d’après-midi.
L’homme a été abattu au terme d’une cavale meurtrière de plus de douze heures et d’une centaine de kilomètres dans cette province.
Gabriel Wortman, un prothésiste dentaire de 51 ans, n’avait pas de casier judiciaire et portait un véritable uniforme de la GRC lors de sa cavale, a précisé la police.
Pendant sa cavale, il s’était aussi déplacé en partie à bord d’une voiture semblable à celle de la police et qu’il avait achetée aux enchères.
Hormis l’adolescente de 17 ans, toutes les victimes sont des adultes, dont certaines étaient connues du tireur, qui les a délibérément « ciblées », selon la police fédérale.
La police explique qu’elle tente de déterminer si le tueur a « planifié » ses gestes et de comprendre ses « motivations » dans le cadre de son enquête. Celle-ci comprend 16 scènes de crime et s’annonce complexe et longue, avait prévenu lundi la police.
La tuerie avait débuté samedi en fin de soirée dans une maison de la paisible commune rurale et côtière de Portapique, qui compte une centaine d’âmes. Appelée par des voisins qui avaient entendu des coups de feu, la police a découvert sur place plusieurs cadavres, à l’intérieur et devant une maison.
Des victimes ont également été tuées dans quatre autres villages, a ajouté la police. (AFP)
« Nous pensons qu’il y a 23 victimes, dont une âgée de 17 ans », a expliqué la police, qui indique avoir retrouvé de nouveaux corps sur les lieux incendiés par le tueur. Ce dernier avait mis le feu à au moins cinq maisons et véhicules.
La police n’a pas précisé si ce bilan incluait le tueur, qui a succombé à ses blessures après avoir été atteint par balles par la police dans une station-service dimanche midi en Nouvelle-Ecosse. La GRC n’était pas immédiatement joignable en milieu d’après-midi.
L’homme a été abattu au terme d’une cavale meurtrière de plus de douze heures et d’une centaine de kilomètres dans cette province.
Gabriel Wortman, un prothésiste dentaire de 51 ans, n’avait pas de casier judiciaire et portait un véritable uniforme de la GRC lors de sa cavale, a précisé la police.
Pendant sa cavale, il s’était aussi déplacé en partie à bord d’une voiture semblable à celle de la police et qu’il avait achetée aux enchères.
Hormis l’adolescente de 17 ans, toutes les victimes sont des adultes, dont certaines étaient connues du tireur, qui les a délibérément « ciblées », selon la police fédérale.
La police explique qu’elle tente de déterminer si le tueur a « planifié » ses gestes et de comprendre ses « motivations » dans le cadre de son enquête. Celle-ci comprend 16 scènes de crime et s’annonce complexe et longue, avait prévenu lundi la police.
La tuerie avait débuté samedi en fin de soirée dans une maison de la paisible commune rurale et côtière de Portapique, qui compte une centaine d’âmes. Appelée par des voisins qui avaient entendu des coups de feu, la police a découvert sur place plusieurs cadavres, à l’intérieur et devant une maison.
Des victimes ont également été tuées dans quatre autres villages, a ajouté la police. (AFP)