BEYROUTH (Reuters) - Le parlement libanais a voté vendredi la confiance à un nouveau gouvernement de coalition formé la semaine passée qui a promis des réformes présentées comme "difficiles et douloureuses" pour endiguer la détérioration de la situation économique et sociale du Liban.
Le Premier ministre Saad Hariri, soutenu par les Occidentaux, a annoncé que son gouvernement allait concentrer son action sur les finances publiques afin de contrôler l'importante dette nationale.
La constitution de ce gouvernement fait suite à des mois de tractations depuis les élections législatives de mai dernier.
La plupart des formations politiques représentées au parlement siègent également dans ce gouvernement, y compris le président Michel Aoun, le président du parlement Nabih Berri et le Hezbollah, groupe soutenu par l'Iran.
L'équipe constituée par Hariri a promis dans un communiqué d'essayer de ne pas aggraver les problèmes économiques, financiers et sociaux qu'affronte le Liban.
La "correction financière" qu'il entend apporter a été évaluée à au moins 1% du PIB par an sur une période de cinq années à partir du budget 2019.
Cela devrait se traduire par un coup de pouce salarial et une réduction de dépenses avec la privatisation de la compagnie nationale d'électricité qui constitue un "fardeau écrasant" pour les finances publiques.
Le Premier ministre Saad Hariri, soutenu par les Occidentaux, a annoncé que son gouvernement allait concentrer son action sur les finances publiques afin de contrôler l'importante dette nationale.
La constitution de ce gouvernement fait suite à des mois de tractations depuis les élections législatives de mai dernier.
La plupart des formations politiques représentées au parlement siègent également dans ce gouvernement, y compris le président Michel Aoun, le président du parlement Nabih Berri et le Hezbollah, groupe soutenu par l'Iran.
L'équipe constituée par Hariri a promis dans un communiqué d'essayer de ne pas aggraver les problèmes économiques, financiers et sociaux qu'affronte le Liban.
La "correction financière" qu'il entend apporter a été évaluée à au moins 1% du PIB par an sur une période de cinq années à partir du budget 2019.
Cela devrait se traduire par un coup de pouce salarial et une réduction de dépenses avec la privatisation de la compagnie nationale d'électricité qui constitue un "fardeau écrasant" pour les finances publiques.