Suite logique aux contestations politiques qui durent depuis la réélection du président IBK en juillet 2018 ou pas : le Mali est en proie à une nouvelle vague de manifestations contre les résultats définitifs du second tour des législatives de mars-avril tenues en plein pandémie de Covid-19.
En effet, les résultats définitifs publiés par la Cour constitutionnelle attribuent au parti au pouvoir 10 sièges de plus que lors de l'annonce des chiffres provisoires.
Verdict : le parti du président Ibrahim Boubacar Keïta, le Rassemblement pour le Mali (RPM), a remporté 53 trois des 147 sièges de l'Assemblée nationale, et non 43 comme annoncé une semaine plus tôt par le ministère de l'Administration territoriale et de la Décentralisation, l'un des trois organes chargés de l'organisation du scrutin. L'explication avancée est la prise en compte par cette même Cour dirigée par Manassa Danioko d'une partie des recours introduits par des candidats. (Le Point)
En effet, les résultats définitifs publiés par la Cour constitutionnelle attribuent au parti au pouvoir 10 sièges de plus que lors de l'annonce des chiffres provisoires.
Verdict : le parti du président Ibrahim Boubacar Keïta, le Rassemblement pour le Mali (RPM), a remporté 53 trois des 147 sièges de l'Assemblée nationale, et non 43 comme annoncé une semaine plus tôt par le ministère de l'Administration territoriale et de la Décentralisation, l'un des trois organes chargés de l'organisation du scrutin. L'explication avancée est la prise en compte par cette même Cour dirigée par Manassa Danioko d'une partie des recours introduits par des candidats. (Le Point)