En dépit de l’embargo dont il est l’objet, le Mali a autorisé l’écoulement au Sénégal et en Côte d’Ivoire de 5500 moutons et chèvres et de 300 têtes de bovins pour aider à la prise en charge des besoins induits par la Tabaski de cette année. L’annonce émane de la Direction générale des douanes (DGD) du Mali dans un message en date du 24 juin transmis aux différentes antennes frontalières.
Depuis le 9 janvier 2022, le Mali est placé sous embargo économique, commercial et financier par la Communauté économique des Etats de l’Afrique de l’ouest (CEDEAO). Il est reproché à la présidence et aux autorités de transition le « non respect » du calendrier électoral initialement prévu pour le retour à l’ordre constitutionnel après le coup d’Etat du 20 août 2020 qui a renversé l’ex défunt président Ibrahim Boubacar Keïta.
Cette opération devrait également permettre aux éleveurs maliens de souffler un peu devant la persistance de la fermeture des frontières terrestres (et aériennes).
Ce 3 juillet, la Cédéao se réunit en sommet extraordinaire à Accra pour confirmer ou revoir les sanctions communautaires contre le Mali.
Depuis le 9 janvier 2022, le Mali est placé sous embargo économique, commercial et financier par la Communauté économique des Etats de l’Afrique de l’ouest (CEDEAO). Il est reproché à la présidence et aux autorités de transition le « non respect » du calendrier électoral initialement prévu pour le retour à l’ordre constitutionnel après le coup d’Etat du 20 août 2020 qui a renversé l’ex défunt président Ibrahim Boubacar Keïta.
Cette opération devrait également permettre aux éleveurs maliens de souffler un peu devant la persistance de la fermeture des frontières terrestres (et aériennes).
Ce 3 juillet, la Cédéao se réunit en sommet extraordinaire à Accra pour confirmer ou revoir les sanctions communautaires contre le Mali.