Ce n’est pas toujours juste de mettre tous les présidents africains dans un même sac à propos de leur rapport au pouvoir. Quand le chef de l’Etat sénégalais, Macky Sall, fait ses petits calculs pour 2024, d’autres étalent leur sincérité et leur bonne foi.
Après le président Mahamadou Issoufou du Niger qui a annoncé depuis bien longtemps qu’il partira à la fin de sa présidence cette année, c’est son proche voisin du Nigeria qui poursuit la belle série des (rares) bonnes nouvelles auxquelles les populations n’ont pas toujours droit. Selon la BBC, Muhamadu Buhari a réaffirmé dans son message de fin d’année son intention ferme de quitter la tête de son pays à l’issue de son deuxième mandat en 2023 afin que les Nigérians se choisissent un autre leader.
Elu en mars 2015 puis réélu en février 2019, l’ex Général d’armée met ainsi fin aux supputations qui avaient pris de l’ampleur lui prêtant le désir secret de briguer un troisième mandat consécutif, ce que ne permet pas la Constitution du Nigeria. D’après le média britannique, Buhari a affirmé n’avoir aucun plan qui lui permettrait de passer outre les dispositions de la loi.
Au contraire, il devrait consacrer une partie de ses activités au cours des trois prochaines années à promouvoir le renforcement des processus électoraux en Afrique de l’Ouest, sans oublier bien sûr les problèmes de sécurité liés au terrorisme de la secte Boko Haram.
Après le président Mahamadou Issoufou du Niger qui a annoncé depuis bien longtemps qu’il partira à la fin de sa présidence cette année, c’est son proche voisin du Nigeria qui poursuit la belle série des (rares) bonnes nouvelles auxquelles les populations n’ont pas toujours droit. Selon la BBC, Muhamadu Buhari a réaffirmé dans son message de fin d’année son intention ferme de quitter la tête de son pays à l’issue de son deuxième mandat en 2023 afin que les Nigérians se choisissent un autre leader.
Elu en mars 2015 puis réélu en février 2019, l’ex Général d’armée met ainsi fin aux supputations qui avaient pris de l’ampleur lui prêtant le désir secret de briguer un troisième mandat consécutif, ce que ne permet pas la Constitution du Nigeria. D’après le média britannique, Buhari a affirmé n’avoir aucun plan qui lui permettrait de passer outre les dispositions de la loi.
Au contraire, il devrait consacrer une partie de ses activités au cours des trois prochaines années à promouvoir le renforcement des processus électoraux en Afrique de l’Ouest, sans oublier bien sûr les problèmes de sécurité liés au terrorisme de la secte Boko Haram.
PRÉSIDENTIELLE 2024
FRANCE
